Oui, c’est tout à fait ça, une dose de 1984 (en plus soft) et une dose de rafraichissante utopie. Le tout, avec une écriture délicate, qui se joue des modes, mais qui donne envie d’être lue. Le propre d’un roman !! Faire tourner les pages, et redouter le mot fin qui s’approche, tant on a été en empathie avec le monde dans lequel on s’est plongé plusieurs heures. Bravo.

Très belle écriture, très forte. Et un vrai récit qui laisse des traces trash. Merci pour ce partage.

Prometteur… Et frustrant ! Il y a une vraie atmosphère, un ton, qui font qu’on veut tourner les pages, qu’on veut savoir comment le récit va évoluer. On se doute au fil des phrases que cela ne va pas se dérouler aussi bien que cela pourrait le sembler. Vous aimez le cinéma, cela se sent, c’est très imagé vos descriptions, les sensations que vous exprimez. Dommage de devoir s’arrêter si vite !

Magnifique ! Tout. Le summum étant l’union d’Havig et d’Ighnon. Quant au reste, dont on ne peut pas ne pas parler, à savoir tant l’originalité débridée du récit que la maîtrise ciselée de l’écriture, les qualifier serait trop réducteur, c’est chapeau bas !

D’abord, c’est très gai votre écriture, vive, sympa. Après, le sujet, c’est bien de la fiction, n’est-ce pas ? ! Le démarrage donne envie d’en savoir plus, de poursuivre, de découvrir et rentrer dans l’histoire. Au fil des pages, ne pas savoir comment cette folie évolue ne serait pas supportable. Bravo !