Le Clown Boiteux 2 ème degré

62 pages de Je THER
Le Clown Boiteux 2 ème degré Je THER
Synopsis

Suite du LE CLOWN BOITEUX de Jether

Votre futur voyage dans une contrée inconnue…

Publié le 01 Janvier 2020

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2 commentaires , 3 notes
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5
Quelle belle suite... Je redécouvre avec plaisir cette écriture à la fois poétique, emprunte d'une réalisme implacable qui nous traverse, sensible et bouleversante. J'ai beaucoup aimé retrouver cette dualité, cette autre en soi, ce langage interne qui nous aide à réfléchir et parfois nous empêche de trouver le sommeil voire pire. Quelle soulagement aussi de pouvoir lire ces mots poser sur des ressentis profonds, imperceptibles, enfouis ou au contraire parfois si violents qu'ils nous transpercent de toute part. J'ai hâte de découvrir la suite... ou pas... en tout cas, merci et bravo pour nous permettre de découvrir et d'aller à la rencontre de cet autre en vous.
Publié le 23 Janvier 2020

@Faboc, vous m’avez fait peur, autant vous le dire. Je vous cite "La lecture de cette suite nous fait circuler dans des massifs temporels syncopés comme une conscience qui confesse son chaos." Puis "Je trouve que la grande réussite de l'auteur est ici de ne pas laisser le lecteur trop loin derrière lui, inaccessible à son expérience. Le face à face avec l'absolu peut décourager la patience d'un lecteur humain, trop humain. Il n'en est rien ici tant est présente au fil du texte la question de la transmission, qu'elle prenne le visage des rapports filiaux (et à ce titre la scène d'ouverture m'a semblé particulièrement réussie) ou celui, pathétique, du monde défiguré qui sera légué à nos enfants." Je fais donc partie des lecteurs qui ont perdu le fil, ceux laissés trop loin pour oser espérer rattraper. Est-ce votre commentaire qui m’a fait peur ? Ou découragé ? Est-ce votre texte Je Ther qui effectivement n’est pas écrit pour le premier lecteur venu ? Peut-être les deux. Bref, je me suis gamellé (comme disent mes enfants après une chute à ski), et je le regrette, car j’ai toujours aimé les clowns, même tristes (et sans doute boiteux).

Publié le 18 Janvier 2020
5
La suite du Clown boiteux est une belle réussite ! Ambitieux, Jéther s'y fait plus mystique et en même temps plus accessible. La pente est toujours aussi raide, le dénivelomètre s'affole toujours autant, et pourtant l'auteur nous prend moins de haut, il accuse moins la médiocrité de l'humain des plaines et des vallées que dans la première partie de son récit. Le message en ressort épuré et approfondi. La lecture de cette suite nous fait circuler dans des massifs temporels syncopés comme une conscience qui confesse son chaos. Les origines multiples d'un appel des profondeurs, et le dessein toujours à tracer, dans l'Immaculé de la pente ou de la page. Par rapport au récit inaugural, les dispositifs de narration et les plans de coupe du texte ont gagné en efficacité. Je trouve que la grande réussite de l'auteur est ici de ne pas laisser le lecteur trop loin derrière lui, inaccessible à son expérience. Le face à face avec l'absolu peut décourager la patience d'un lecteur humain, trop humain. Il n'en est rien ici tant est présente au fil du texte la question de la transmission, qu'elle prenne le visage des rapports filiaux (et à ce titre la scène d'ouverture m'a semblé particulièrement réussie) ou celui, pathétique, du monde défiguré qui sera légué à nos enfants. Enfin les quelques passages moins réussis dans la narration (peut-être à la fin), est très amplement compensée par une palette de tons et de références littéraires plus riche et maîtrisée que dans la première partie. Ce qui, de façon convaincante, confère un intérêt supplémentaire à la lecture de ce Deuxième degré. Suite attendue !!
Publié le 12 Janvier 2020

Le deuxième degré a tenu la promesse du premier quant à la charge émotionnelle, tragique et mystique qu’il déploie. On aimerait que l’odyssée introspective de Jether aboutisse, dans le troisième annoncé, à une véritable épiphanie. Sur un immense « carré lumineux » où l’attendrait son labrador des neiges ! Puisse le traceur des vierges espaces terrasser ses démons avec des « épées de lumière » !
Bravo Jether, vous m’avez, comme la dernière fois, embarqué dans votre quête personnelle et poétique.

Publié le 05 Janvier 2020
5
****
Publié le 05 Janvier 2020