Carnet d'un désepéré

Le temps que j'ai passé à lire ce livre, je ne l'ai pas regretté.
C'est un livre qui m'a beaucoup plu. Et surtout un livre qui m'a autant ému.

Merci de l'avoir partagé.

J’ai passé un agréable moment à lire ce livre qui sort de l’ordinaire, si vous aimez être surpris vous allez être ravis.

En lisant "Alcoolique" j'ai pensé à du Brel. C'est beau.

Dommage que la bien pensance prenne l’ascendant sur une réflexion qui se voulait anti conformiste !

Il y a pas mal de fautes d'orthographe, en particulier d'accords. Même dans le titre que vous avez entré sur monbestseller où vous avez écrit "désepéré" au lieu de "désespéré". Mais j'ai surtout regardé le fond. Votre désespoir est loin d'être total puisque vous avez encore la volonté d'écrire ! Et le chapitre "je vais faire fleurir" n'est pas si pessimiste. Je vous rejoins totalement sur le constat de ce "monde qui divague". Effectivement nous vivons dans un monde de fous, nous allons droit dans le mur, avec une économie de consommation à outrance qui bouffe les ressources de la planète avant qu'elles se reconstituent et qui tue les hommes à petit feu. Vous devriez travailler les aphorismes avec La Rochefoucauld ou Nietzsche, ou encore Cioran dont vous êtes spirituellement assez proche !

Surprenant, déroutant... Un effet miroir sur mes pensées dans de nombreux chapitres... Merci.

"Le carnet d'un désespéré", j'adore!!!
@V.Remeur. Certains textes semblent violents en apparence mais la lecture profonde permet de comprendre les sentiments purs que vous voulez partager. Sans gants, vous nous percutez avec vos mots pour nous inciter à considérer avec plus de lucidité et à affronter le monde et ses travers.
Merci de nous avoir permis de lire votre livre.

Je confère à cette oeuvre un pouvoir étrange ne venant guère sur la planète bleue .
Un livre qui me libère de mon anxiété .
Je t'offre une plume utopique grâce à ton oeuvre poétique .

Ces cris qu’il est toujours utile pour ceux qui ne les poussent pas, de les lire des autres, car nous avons tous traversé ces moments là. Ils nous rappellent cette violence, ces douleurs. Surtout si on les a passés, comment on s’en est sorti. Vous, je vous souhaite que l’écriture participe à la résilience. Merci d’avoir mis ces mots ici.