
Marthe vient d’avoir cinquante ans et sa vie a pris un virage qu’elle n’a pas décidé. Elle éprouve le syndrome de la page blanche devant son avenir qu’il lui faut écrire seule. Sera-t-elle capable de transformer sa liberté subie en conquête?
Continuera-t-elle d’écouter ses voix intérieures qui lui conseillent les mêmes recettes que par le passé ou bien pourra-t-elle accueillir les messages décapants d’un homme qui la réveille de son sommeil ou ceux de sa voisine bienveillante et indépendante?
Les laissera-t-elle agir comme des outils de sa transformation?
Ce livre est noté par
@Mondebeau
Mérite mieux : qu'entendez -vous par là ?
Mérite mieux
@ HANÈS
Je bois du petit lait : lorsque la lectrice aimerait être à la place de Martha, quel meilleur compliment peut-on rêver lorsqu’on a créé JM2?
J’essaye d’imaginer des hommes avec lesquels il serait agréable de cheminer...
Et je continue!
Bien à vous
Sylvie
@ HANÈS
Je bois du petit lait : lorsque la lectrice aimerait être à la place de Martha, quel meilleur compliment peut-on rêver lorsqu’on a créé JM2?
J’essaye d’imaginer des hommes avec lesquels il serait agréable de cheminer...
Et je continue!
Bien à vous
Sylvie
@ lamish
Votre retour m’enchante car vous avez trouvé le mot juste « jubilatoire ».Eh oui, sous les aspects du contraire en début de roman, c’est un hymne au goût de la vie, et à la liberté. Et youpi si mes personnages masculins ont le bonheur de vous plaire.
Tiens, vous me donnez une idée avec cette histoire de friandise, désormais, je vais me qualifier de confiseuse de romans!
@wildgoose
Votre commentaire me va droit au cœur car Marthe représente pour moi toutes les femmes abandonnées à 50 ans avec la pancarte « bonne pour la réforme ».Si vous lisez la suite du roman, vous verrez qu’elle envoie un beau message d’espoir aux femmes qui se croient sans avenir.
Bien à vous,
Sylvie
Comme quoi, un sujet fâche, l’autre me rend curieuse (peut-être entre autre que je me sens plus concernée, sans doute même !). Bref, j’ai l’impression que ce roman là a plus de corps, de fond, de fondamental en fait. J’aurais bien fait le voyage ici en continuant. Dommage que ce ne soit qu’un extrait…
@Hubert Letiers
Sensible à votre commentaire qui témoigne d’une lecture en profondeur.
Merci!
@ Suzie Fong
Ha ha! Dommage que je n’ai pas trouvé un titre à faire fuir les cochenilles, elles attaquent mes plantes chaque année.Si vous avez une suggestion...