
Quelques jeunes adultes qui se livrent aux jeux si classiques de la séduction et de l'attirance ; qui se cherchent, se jaugent, s'effleurent ou s'évitent...
Un lecteur inattentif ne verra là qu'une comédie romantique légère et gaie ; qu'un charmant marivaudage et il pourra d'ailleurs parfaitement s'en contenter et même s'en satisfaire.
Un autre, moins distrait, comprendra que ce récit en perpétuel trompe-l’œil est en fait une porte entrouverte sur un tout autre ailleurs : son propre imaginaire.
Si ce n'est la ligne directrice, l'auteur s'est bien gardé d'imposer une lecture unique à cette étrange histoire. Il vous appartiendra donc d'en choisir l'exégèse...
@Philippe de Vos
Merci, Philippe, pour votre note et pour avoir pris le temps d'un commentaire aussi long et étayé ! Je vais tenter de m'appliquer pour que ma réponse soit à la hauteur...
Prenons vos arguments dans l'ordre, commençons par "le film". Ce n'était pas intentionnel de ma part, tout du moins au début. J'avais certes un projet stylistique, mais qui était plutôt d'atteindre l'épure, d'éradiquer tout ce qui n'était pas indispensable pour que l'attention du lecteur se concentre sur les ressentis des personnages (d'où notamment des descriptions succinctes, des phrases du style "Soir. Elle." – Oups ! Je viens de perdre 1 000 lecteurs potentiels ! –), suffisantes de mon point de vue pour planter le décor et savoir quels personnages y figuraient, mais qui firent constamment bondir ma compagne, plus habituée à une écriture "classique". D'une manière générale, le sujet (Il, elle, l'homme, Mila...) n'a sauf exception été laissé que lorsqu'il n'était pas implicite, que le reste de la phrase ne pouvait le faire deviner sans ambiguïté...
Ce n'est que parvenu à la moitié de la rédaction que j'ai remarqué que cela donnait au final l'impression d'un scénario de film où la scène commence en italique par "Extérieur nuit. Phi qui regarde la fenêtre. Mila qui lui tourne le dos", avant que survienne la première action, le premier dialogue... et j'avoue que cela ne m'a pas déplu !
Passons à ce fameux "Voisins, voisines" et il faut croire que nous sommes à peu près de la même génération car je l'ai longtemps regardé pour peupler mes insomnies (récurrentes entre la fin de mes études et mes premières années de travail). Ce n'était pas désagréable mais il n'y avait effectivement aucune histoire ; j'ai d'ailleurs toujours pensé qu'il n'y avait nul scénario préalable (hors peut-être le point de départ et le point d'arrivée) et que les épisodes étaient interprétés "au pied levé" par les comédiens d'une ligue d'improvisation. Et bien, même si cette comparaison pourrait paraître à d'aucuns péjorative, je la trouve très juste : dans mon cas, l'histoire n'est qu'un décor pour mettre en valeur – et surtout justifier – le cheminement psychologique des personnages mais elle aurait pu être tout autre. Seule m’importait que l’évolution des rapports entre les protagonistes depuis l’état initial jusqu’à la conclusion soit cohérente et puisse donner sens au rebondissement final (qui aura probablement laissé perplexe la majorité des lecteurs mais que je ne peux évoquer ni expliquer ici sans divulgâcher !).
Seule plaidoirie de la défense : dans mon cas et contrairement à "Voisins, voisines", nul ne peut imaginer à quel point le texte et les dialogues ont été "écrits", relus, médités, réfléchis, biffés, reformulés... mais je conviens que, vu le style choisi, ce n'est pas forcément visible !
Ceci étant dit, j’attends avec impatience votre prochaine publication (ou plutôt d’avoir suffisamment de temps libre pour lire un des autres ouvrages qui figurent dans votre bio !).
Wilfrid
Bonjour, @Helene BOIBIEN
Vous n'imaginez pas à quel point je suis touché par votre commentaire, chère Hélène, et comme il me fait chaud au coeur !
Diantre, une tragédie grecque ! Il faudra que je me relise, moi : j'ai peut-être raté quelques passages ;-D . Mais je reconnais avoir tout fait pour que ce texte puisse être interprété différemment selon le vécu et l'état d'esprit du lecteur, ce qui explique peut-être cela !
Quant au vocabulaire, même si j'ai eu volontiers recours au dictionnaire de synonymes (parce qu'un mot sonnait mieux qu'un autre), je me suis interdit par principe d'utiliser des termes dont je ne connaissais pas à l'avance la définition (ayant des souvenirs douloureux de certains livres de Yourcenar ou d'"Ada ou l'ardeur" de Nabokov, où j'ai passé beaucoup plus de temps le nez dans le dictionnaire qu'à parcourir le texte lui même - mais, dans le cas d'"Ada", ça valait vraiment la peine de se battre - !). Seules dérogations : "Sérendipité" et "Pétrichor", que je n'avais jamais entendus, mais qui collaient beaucoup trop bien au texte pour être rejetés.
Quoi qu'il en soit, merci d'avoir ainsi ensoleillé ma journée et à bientôt j'espère pour votre prochaine publication !
Cordialement,
Wilfrid TETARD
Bonjour, @Brittany Jacques
Désolé ne ne pas savoir reproduire le coeur qui suit votre nom. J'espère que ce message vous parviendra tout de même ! Je suis bien sûr très touché par votre charmant commentaire et vous souhaite bonne chance pour votre future carrière d'autrice !
Cordialement
Wilfrid TETARD
J'ai adoré lire votre livre, et surtout j'ai aimé votre inspiration pour certaines parties.
Bonjour, @ElsaBey
Désolé de vous avoir fait souffrir ! ;-). La lecture d'un roman doit être un plaisir et il n'y a pas lieu de s'acharner si celle-ci devient laborieuse... L'âge m'a appris que la vie est trop courte pour s'infliger délibérément des fastidiosités inutiles et force m'est de convenir que mon choix de construction ne facilite pas l'immersion dans le texte !
Ceci dit, je suis toujours surpris de voir les lecteurs imputer cette "difficulté de lecture" à la ponctuation. Celle-ci est (Si, Si ! Observez-la attentivement :-) ) parfaitement "normale". La contrainte littéraire qui modifie significativement les phrases est tout autre et a été évoquée dans deux commentaires précédents (PHDV et Zoé) ;-D
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de laisser un commentaire !
Cordialement,
Wilfrid TETARD
Oups, j'avoue avoir du mal avec le style d'écriture... la ponctuation est vraiment bizarre, c'est difficile à lire, je n'y arrive pas :( ça demande un effort, provoquant une fatigue qui du coup ne permet pas de rentrer dans l'histoire, désolée
Merci infiniment, @Zoé Florent pour votre commentaire détaillé et particulièrement flatteur.
Par quoi commencer ? Le titre du livre ? Hors le fait que le pétrichor soit une odeur m'évoquant immanquablement le bien-être et la plénitude, que c'est elle aussi qui a guidé Phi vers son destin, il faut savoir que ce n'est pas le titre d'origine qui était "Aimants" (adjectif qualificatif accordé au pluriel). Mais, ayant mis mon livre en vente en édition à la demande, j'ai rapidement constaté que mon roman était introuvable même en tapant le titre exact et en précisant "Catégorie livres". Il n'apparaissait qu'en 20ème page de résultats après 200 annonces sponsorisées d'aimants pour tableaux, de magnets pour réfrigérateurs, etc. D'où la modification indispensable ! ;-)
Vous auriez semble-t-il désiré mieux comprendre la relation entre Mousse et Mila : c'est précisément la "ligne directrice" que j'évoquais dans le synopsis, celle sans laquelle aucune compréhension du texte n'est possible. Pour la plupart de mes courageux "bétalecteurs", l'interprétation de l'interaction entre ces deux femmes fût la même et s'était rapidement imposée comme étant la seule possible. Quelques uns m'exposèrent dans le doute leur hypothèse pour confirmation, les autres considérèrent la chose comme évidente, acquise. Mais comme vous le dites, impossible de la divulguer sans perdre la plus grande partie de l'intérêt du roman. Le débat concernant les rapports entre les autres personnages a donné lieu à bien plus de controverses et c'est encore le cas. J'ai donc un jour rédigé ma propre analyse exhaustive et l'ai présentée à un ami poète et passionné d'OuLiPo, qui l'a parcourue distraitement et m'a suggéré aussitôt de la jeter, de laisser le lecteur décider lui-même ; peu importait pour lui ce que j'avais voulu écrire, l'essentiel étant que je sois allé au bout de ma démarche littéraire et que le lecteur ait compris ce qu'il avait voulu comprendre...
Merci beaucoup pour votre choix de la phrase mise en exergue : elle fait en effet partie de celles que je relis avec le plus d'indulgence !
Je ne manquerai pas, chère Zoé d'aller jeter un oeil bienveillant sur votre prochaine production. Quant à moi, il est vraisemblable que je m'oriente à l'avenir vers un format plus "court".
Amicalement,
Wilfrid
@Brato
Merci infiniment pour votre commentaire (et votre note) qui me réjouissent. A trop décrire, le risque est grand de brider l'imaginaire du lecteur et je souhaitais au contraire que celui-ci soit, consciemment ou à son insu, mon co-auteur ; qu'au final ce livre soit son oeuvre autant que la mienne puisqu'il aurait lui-même rédigé tous les non-dits. Je suis d'autant plus heureux que vous ayez pris plaisir à assumer ce rôle !
Cordialement,
Wilfrid
@Violaine</p>
De nouveau, merci, chère Violaine, pour votre commentaire et votre note. Si vous avez vous-même publié un ouvrage, sur ce site ou ailleurs, n'hésitez pas à me le faire savoir afin que je puisse, moi aussi me plonger dans votre imaginaire. La façon d'écrire, même si le texte n'est pas autobiographique, révèle souvent bien plus de choses sur son auteur qu'il ne le souhaiterait, si l'on excepte bien sûr les romans formatés pour plaire à un large public (et ce n'est nullement une critique envers leurs rédacteurs ; simplement le constat qu'ils font preuve de plus de pragmatisme que moi...).
Amicalement,
Wilfrid
@Wilfrid TETARD
Merci de cet éclaircissement. pas de concession, tout est volontaire. Ok.
Pour le Nobel, c'était une demi-boutade historique ! Mais attention, on n'y renonce pas… le plus souvent, c'est lui qui renonce à nous .
Cordialement
Merci pour votre commentaire, PHDV. Un de vos mots me réjouit particulièrement : "Epure". C'est en effet ce que j'ai recherché tout au long de ce livre, en supprimant notamment la plupart des sujets implicites. Comme vous l'avez judicieusement constaté, je n'en ai pas non plus fait une obsession et il subsiste plusieurs phrases complètes, mais j'en ai usé à la manière de la musique d'un film, pour surligner un moment de tension ou, au contraire, un passage particulièrement tendre.
Quant au Nobel, si je dois y renoncer pour préserver mon "style", je le ferai sans regrets... Il faut parfois savoir faire des concessions ! ;-)
Un style particulier. De petites concessions, de-ci, de-là, où le style n'est pas poussé jusqu'à l'épure. (on peut encore retirer ici où là, des mots, pour rester dans ce style, constamment).
Est-ce nouveau ? Je ne sais pas. je ne crois pas. Mais c'est un vrai travail d'architecte. Manque donc quelques finitions.
Dans un genre qui s'est voulu novateur, Martin du Gard avait écrit Jean Barois, s'émancipant de verbes(parfois), faisant des phrases d'un mot, etc. Il y a un siècle. Ce n'est pas ce qui a fait sa gloire. C'est un style plus classique qui lui a valu le Nobel, les Thibault, naturellement.
@Lamish ter
Bonjour, Michèle,
Pourquoi pas "Plages, michetonneuses et boat-people", même si le titre "Autopsie onirique" m'attire davantage. A moins que vous ne portiez une affection plus particulière à une autre de vos productions...
Je suis totalement d'accord avec vous sur le fait que la quatrième partie de "Pétrichor, l'hiver..." est indéniablement la plus "convenue", la moins inventive, même si je l'ai longuement et maintes fois retravaillée...
Amicalement,
Wilfrid
@Lamish ter
Michèle,
Enchanté et presque déconcerté par votre commentaire ! Je m'attendais à ce que toute personne parvenant au bout de ce livre commence sa phrase par "J'ai adoré (un passage, une situation, le personnage de...)" et conclue par "mais pourquoi avez-vous (abordé les choses ainsi, présenté de cette manière la relation entre...)". En bref, je ne m'attendais pas à ce qu'on puisse apprécier ce texte comme une entité monolithique mais qu'on s'attache suffisamment à certains passages ou personnages pour pardonner les pages de moindre intérêt.
Je vous suis donc infiniment reconnaissant de votre indulgence !
Si vous avez écrit un livre sur ce site, n'hésitez pas à me le faire savoir : la recherche "Lamish ter" ne m'ayant fourni aucune indication, j'en serai vite réduit à piocher un peu au hasard dans la multitude des titres proposés.
J'ai entamé le livre de Jean-François Dion. Il y a là les accents d'une autodérision faussement désabusée à la "Houellebecq" (qui, heureux hasard, est un de mes auteurs préférés) mais où le cynisme systématique aurait laissé la place à une forme de tendresse. N'ayant nulle intention de lire son roman en diagonale pour fournir un point de vue hâtif, il me faudra sans doute quelques jours avant que j'aille poster un commentaire sur sa page...
Amicalement,
Wilfrid
@Lamish ter
Merci pour votre commentaire (et votre note), Michèle. Tenez bon : plus qu'une partie avant la révélation !
Je ne manquerai pas demain d'aller faire un tour sur la page de Jean-François Dion.
Amicalement,
Wilfrid
Je ne sais pas si c'est un style, mais le fait est que c'est indigeste très rapidement... La ponctuation n'est pas que "respiratoire", indiquant les pauses nécessaires pour les orateurs, comme aux XVIIe et XVIIIe siècles (pourtant, en dépit de cela, l'orateur faisait d'autres pauses que celles indiquées par la ponctuation) ; elle indique aussi la structure de la pensée et de la phrase. Personnellement, vos points-virgules m'insupportent, débitant ainsi vos phrases au hachoir. Peut-être est-ce votre style. Ce qui me semble plus certain, c'est l'obstacle dressé à la lecture. Désolée, mais je n'ai pu dépasser les dix premières pages. J'ai calé.
@Lamish ter
Bonjour, Michèle,
Merci pour cette première appréciation ! Si vous "tenez" jusqu'à la fin de la partie 4, le plus dur sera fait : la partie 5 est de loin la plus intéressante et fournit suffisamment de réponses pour justifier l'apparent désordre du reste du texte.
Amicalement,
Wilfrid
@madline2
Je respecte totalement votre point de vue ! Mais j'aimerais dans ce cas beaucoup connaître votre appréciation sur le livre de Joseph Ponthus ("A la ligne", grand prix RTL, prix Régine-Deforges 2019, prix Jean Amila-Meckert en avril 2019, prix du premier roman des lecteurs des bibliothèques de la Ville de Paris 2019, prix Eugène-Dabit du roman populiste en novembre 2019 et prix littéraire des étudiants de Sciences Po en juin 2020 ) qui ne contient, lui, aucune ponctuation, tous les points, points de suspension, points-virgules, virgules, points d'exclamation et d'interrogation étant systématiquement remplacés par des retours à la ligne ?
@Catarina Viti
Merci infiniment, Catarina, pour votre commentaire : c'est exactement ce que je recherchais en m'inscrivant sur ce site ! Je conviens avoir pris un malin plaisir à torturer les phrases, comme vous le dites, même si je pense avoir eu infiniment plus d'égards pour la langue !
Je ne m'exprime évidemment pas ainsi dans la vie courante mais il me semble qu'il appartient à l'histoire d'imposer le style et non l'inverse (les auteurs ayant un style "unique" et immédiatement identifiable ayant - à quelques exceptions près - la fâcheuse manie d'écrire sempiternellement le même livre en ne changeant que le nom des personnages et le contexte).
Ayant souhaité écrire un roman déstabilisant avec une trame apparemment naïve, j'ai voulu que le style soit en adéquation et suggère l'étrange, suscite la perplexité.
Suis-je allé trop loin dans cette voie ? Votre commentaire me donne déjà un élément de réponse et je vous en remercie. L'avenir dira si d'autres ont un point de vue différent, plus critique, peut être. Le reproche (fût-il haineux ou agressif, dès l'instant où il est sincère et argumenté) me semble de loin préférable à l'indifférence !
« Il faut reconnaître… c'est du brutal ! »
Une drôle de manière de torturer les phrases (et la langue, peut-être).
Oui, c'est particulier. Disons : très personnel. Une appropriation non seulement de la ponctuation, mais de tout le toutim de la langue française.
Certes, c'est audacieux.
J'ai pécho un passage, les yeux fermés :
"Le reflet dans la vitre la dessine, qui finit de déjeuner ; longue chemise d’homme ne tenant que par deux frêles boutons qu’elle aime porter le matin, petite culotte. C’est tout. Pas encore maquillée ; probablement fraîche, lumineuse. Cheveux bouclé mi-longs qui encadrent le visage sans éclipser l’éclat des yeux gris-bleu. Devrait être belle. L’est, peut-être. Enfin… Le sera, tout à l’heure."
Ce qui m'intéresse : si je surfe en crête du texte, mon cerveau réussit malgré tout à construire une image. Et cela l'étonne presque (l' / sujet = cerveau).
Ce qui m'interroge : vue de plus près, ces phrases sont fichues de telle sorte qu'elles n'ont pas de sens (ou un sens plus que discutable, comme on dit "capillotractées").
Est-ce un style ? Pourquoi pas, puisque vous affirmez que cela est le "fruit d'une longue réflexion" (j'extrapole votre réponse ci-dessous).
Est-ce harmonieux ? Pas à mon oreille. Et pourtant, je préfère Stockhausen à Mozart, Boulez à Reynaldo Hahn, et les Sex Pistols à Luis Mariano.
J'espère que vous aurez plusieurs commentaires, et, par avance, je suis curieuse de les découvrir.
@madline2
Merci de votre commentaire ! Vaste sujet que celui de la ponctuation. En dehors des conventions et des habitudes qui me font l'effet d'un désuet carcan, son rôle est (de la part de l'auteur) d'imposer des pauses, des respirations dans la lecture là où elles lui semblent souhaitables. Dans ce sens, sachez que la position de chacun de mes points-virgules a été le fruit d'une longue réflexion et que, quoi qu'il advienne, je n'en supprimerai ou n'ajouterai pas un, chacun ayant son rôle et sa place imposée par la construction du style.
Mais, d'une manière plus générale, il est évident qu'aucun fervent défenseur d'une écriture académique ne saurait apprécier cet ouvrage et je l'assume parfaitement !
Professeur de Mathématiques mais passionné de littérature, j'aime, au détour d'une page, pouvoir laisser mon imagination vagabonder...
"Pétrichor, l'hiver..." est le "Livre le +" du 25 mars. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Wilfrid TETARD c’est pour cela qu'il publie ce roman gratuitement sur monBestSeller.