
L'assassinat du maire d'un petit village permet à un commissaire un peu branque de faire l'inventaire d'une faune locale pour le moins spéciale.
En conséquence toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que fortuite.
Les coquilles risquent de faire partie du paysage.
Ce livre est noté par
@MJS.
Voilà des semaines que je n'ai plus mis les pieds ni le yeux ici. Et voilà que ce soir, en passant par hasard, je vois votre sympathique message qui finalement n'est pas si vieux que ça.
J'ai eu beaucoup de problèmes à régler ces derniers temps et je n'en ai pas tout à fait fini.
Je pense m'y remettre, mais pas avant une bonne quinzaine. Dans ce cas je vous envoie un petit message. Nous restons en contact et je vous promets des rebondissements complètement déjantés.
Merci encore pour votre suivi.
A bientôt.
Lecture toujours agréable... Histoire totalement décalée qui tient en haleine...
Hâte de connaître le dénouement...
Que les lecteurs me pardonnent.
J'ai eu ces derniers temps pas mal de situations difficiles à assumer.
La suite des aventures devrait reprendre dès la semaine prochaine.
Merci de continuer à me suivre.
A bientôt.
@alban paulh
Je vous remercie à nouveau pour votre sympathique commentaire.
Oui, je m'empresse de mettre votre livre dans ma bibliothèque pour vous donner mon sentiment car il est vrai que nous sommes aussi ici pour ça. Je vous ferai un retour sur votre page.
J'ai déjà publié plusieurs romans, mais pour autant cela ne fait pas de moi un juge de référence qui puisse se permettre de donner des conseils.
Dès que possible je me penche sur votre roman, c'est promis.
Bien cordialement
Désolé de vous avoir indûment attribué une identité aussi mystérieuse que mutante et amusante. Il n'en reste pas moins que mon commentaire se référait bien à ma lecture d' "Un si beau village" et reste donc parfaitement approprié à cette oeuvre que j'ai appréciée. Dans la même optique que celle que vous développez ci-dessous, si vous aviez un peu de temps pour jeter un coup d'oeil sur mon roman "Maudit Tabarnack", je serais curieux de connaître l'effet qu'il peut avoir sur vous, autrice/lectrice avertie et impartiale. Bien évidemment, je peux entendre que vous n'ayez ni le temps, ni l'envie de vous plier à l'exercice mais j'en serais bien marri.
En vous remerciant, cordialement
Alban Paulh
@alban paulh
Merci pour votre sympathique commentaire.
Je ne suis pas Joseph Lestrange, ni l’un de ses multiples visages, que par ailleurs j’aime bien car nous avons souvent l’habitude d’échanger.
Il serait lui-même vexé (il est très ombrageux) d’apprendre qu’il laisse ainsi traîner des fautes d’orthographe. Avec sa bonne foi légendaire et sa verve habituelle il nous les aurait vendues comme volontaires. Bien sûr, je n’en aurais pas cru un mot.
Pour ma part j’écris tous les jours (enfin, avec plus ou moins de constance) au fil de la plume un passage supplémentaire de l’histoire de ce village particulier en riant de mes propres absurdités le tout en oubliant de relire ma prose. Je suis vraiment trop fainéante pour ça. Je vous remercie en conséquence pour votre indulgence.
En fait je cherche surtout à obtenir quelques commentaires pour une éventuelle publication qui fera alors l’objet d’une relecture approfondie une fois le livre terminé.
Mais avant de poursuivre, je tenais à connaître l’effet d’un tel roman sur des lecteurs impartiaux. Si les retours avaient été peu sympathiques, j’aurais certainement arrêté.
La lecture des messages, pour la plupart élogieux, me donne le courage de continuer, le votre en particulier.
Merci encore pour votre soutien.
Toutes mes condoléances à vous et à votre famille...
@MJS.
Je vous remercie pour votre commentaire.
Je n'ai pu malheureusement poursuivre ces derniers temps car je viens de perdre ma maman.
Beaucoup de chagrin, mais revenir à l'écriture me fera certainement du bien.
Je pense que dès la semaine prochaine je vais me remettre au travail.
A bientôt donc et merci encore pour votre suivi.
Hâte de connaître la fin de cette histoire toujours aussi désopilante !!
@M.J Straton
Merci pour ce sympathique retour qui m'incite à poursuivre.
Je suis justement en train d'écrire la suite, qui, vous le verrez, réserve encore bien des surprises, car, au travers de ces personnages pour le moins spéciaux, il y aura quand même une véritable enquête policière.
Merci encore pour vos compliments et peut-être à bientôt.
@Isabelle Blackeney
C'est bien naturel Isabelle. Marre de ces gens.
Je suis la progression. Morte de rire, ce dernier passage avec Zorro et Fantômas dont je ne dirais rien pour le laisser découvrir, mon Dieu !
Merci d'être de retour, faites nous encore rire avec ces personnages complètement à l'ouest.
Oui !! Merci d'une part pour votre soutien @K. Carson et pour vos étoiles et votre défense @R. Bérurier qui me touchent vraiment et m'incitent à poursuivre mon travail.
Effectivement, étant en déplacement, je n'ai pu avancer dans l'épopée fantastique de ce village si particulier à laquelle, dès aujourd'hui, je vais à nouveau m'atteler.
Pour le reste, les chiens aboient, la caravane passe, il en va ainsi de la vie.
Oui, il faut le croire.
Il est étonnant que l'auteure reste muette bien que dans un précédent message je lui ai déconseillé d'entrer dans ce genre de polémique. Mais d'après ce que j'ai pu constater son roman n'a pas progressé depuis quelques jours. Peut-être en vacances ?
@K. Carson
Mais c'est que nous n'en savons rien chère madame.
J'ai par habitude de lire des textes courts sans porter de jugement. Celui-ci me paraissait sympa, je l'ai noté, mis dans ma bibliothèque car il y a une suite. Point.
Et puis, hop, voilà que l'autre frapadingue se pointe avec ses commentaires de dix pages.
Faut croire qu'elle a un pet au casque.
Je m'excuse de m'intercaler, mais quelle est donc cette maniaco-dépressive qui squatte les pages des autres et se permet de me citer ? Je n'ai encore jamais vu ça. Mais c'est une honte @Monique Louicellier.
@Monique Louicellier
Papa ?... Avez-vous donc tant manqué de père pour me prendre pour le votre ?
Je comprends mieux le complexe œdipien qui vous a mise dans cet état.
Fanny Dumont ? Encore l'un de vos phantasmes ? Je ne connais point cette personne, pas plus d'ailleurs que les multiples abonnés de ce site auxquels vous faites référence et qui doivent recevoir des messages incompréhensibles.
Allez donc consulter, tout d'abord pour votre grand bien, mais surtout pour ceux, qu'ici, vous harcelez avec votre charabia.
@R. Bérurier
Oh, c'est bon Papa, on se calme...
Bien le droit de faire un gros splash en commentaire, faute de piscine à disposition, pis vu la canipulle actuelle, j'peux même pas aller à la municipale...
Ça grimpe vachtement dans le classement votre torchon ! !!
Vous faites tous les cybercafés de Paris pour y arriver ???
Votre amie Fanny Dumont avait dû avoir ses sources quand elle a écrit à ce propos, mais ça devait être un fantasme à elle, elle ne pouvait participer pour vous aider car en Auvergne, il y a objectivement moins de cybercafés...
@Monique Louicellier
Vous avez cette fâcheuse tendance à nous perdre dans des commentaires sans fin tout en critiquant, et c'est bien là le paradoxe, la longueur de 4 pages que vous voudriez voir résumées en 4 mots et ce alors même que votre commentaire est plus long que le roman complet.
Cherchez l'erreur.
@Isabelle Blackeney
@Joseph Lestrange
@R. Bérurier
@émilie brock
@Chris D.
@jzbl 2
@K. Carson
Mes premières impressions. Je dois souffler en page 4.
Le style est ampoulé, beaucoup de mots rares, qui peuvent paraître brillants (comme quoi tout ce qui brille n'est pas si précieux) mais qui compliquent simplement la lecture, sans qu'il en soit aucunement besoin, cela rappelle un peu la métaphore de la culture qu'on étale faute d'en avoir une réelle, mais pour moi lectrice, il est presque nécessaire de sortir le dictionnaire à chaque phrase, ce que je n'ai pas fait car cela n'aurait rien apporté de plus à la compréhension de cette histoire, qui est sobre, imaginaire (mais avec des poncifs empruntés au réel comme les défauts de telle ou telle catégorie de personnage), sans émotions et pauvre.
Énormément d'allusions au sexe (de type conversations de bistrot mais avec le style ampoulé en sus...) et d'obsessions là-dessus, qui paraissent extrêmement amusantes à l'auteur mais qui n'apportent strictement rien à l'histoire. Sauf qu'on devine bien que l'auteur n'est ni une femme, ni un jeune homme, ni même un homme dans la normalité et qu'il a de sacrés problèmes de personnalité et vis-à-vis du sexe ou de l'affection.
Un style rappelant exactement celui de Joseph Lestrange (le supposé troll) avec sa petite nouvelle parlant de sa compagne à deux têtes.
J'ai un peu peur que l'auteur souffre de troubles psychiatriques de déréalisation et d'obsessions. Schizophrène ?
Moi je résume ces 4 pages en 4 mots, 8 avec les articles : un maire, une commère, un garde-champêtre, un suicide (du maire).
Permettez que je reprenne plus tard ma lecture et mon analyse car cet écrit est totalement indigeste (pour moi bien sûr, ce n'est que mon avis).
Je rajoute cette analyse à mon commentaire étoilé.
Pardon, mais il fallait qu'on vous le dise !
Bon, après, exprimez-vous, même avec vos soucis.
Mais le problème sera le lectorat.
Quoique vous intéresserez peut-être les psychiatres qui auront sûrement un avis moins tranchant que le mien et plus constructif pour vous. Il y en a sur Mon Best Seller.
NB : Pas besoin d'être psychiatre moi-même pour analyser votre écrit. Cependant les trolls ou critiques anonymes qui se marrent de faire tourner en bourrique les auteurs ici, sont souvent changeants, parfois très habiles, ils peuvent être caméléons.
Alors avez-vous écrit comme si vous étiez un auteur très spécial, assez chiant à lire, un peu schizo et obsédé, sans l'être pour autant, mystère puisqu'on ne sait pas qui se cache derrière un pseudo, ça peut être plusieurs personnes dans la vie réelle aussi, qui ont décidé d'oeuvrer ensemble pour s'amuser.
Voilà que de force me tombe dessus une nouvelle affaire.
J'ai pris connaissance de votre dossier que j'ai étudié avec beaucoup d'attention.
En bonne compagnie nous allons exiger l'application de la peine infligée à dame Monique et sa complice, une certaine Broque si mes souvenirs sont exacts.
Je vous tiens bien sûr informée.
Cordialement
@Isabelle Blackeney
Isabelle, je lirai votre roman en tâchant de me boucher les yeux sur les phrases non terminées, je veux parler du fameux mèpaqueue qui marquera ces sinistres années, que j'utilise subrepticement moi aussi mais sous la forme plus discrète et depuis longtemps reconnue, des trois points de suspension.
Le doute doit profiter à l'accusé et je fermerai les yeux sur les suspicions d'usurpation de genre et d'identité suspecte de méchant troll.
Oui je ne vous connais pas, du moins je ne connais pas votre ouvrage, qui doit être l'unique objet sur lequel mes yeux doivent se poser.
Et comme vous vous sentez blessée, ce que m'a confirmé Mr Carson.
Je vous lirai avec plaisir ! Mais si ! Au pire je mettrai mon réveil si je n'accrochais pas, puis vous régurgiterai un vrai commentaire, fouillé, construit, constructif, et bienveillant, noté à 5/5, comme aime qu'on le fasse Mme Zozo, mon amie bienveillante (ou peut-être 4/5 ?) ou bien enlèverai toute note et commentaire et me tairai à jamais sur votre page.
Chanceuse !
Mais ce serait dommage.
Avec toutes mes dettes de lecture... Ah, la, la...
J'ai des RDV importants jusqu'à mardi inclus et un peu de ménage chez moi à faire pour cause de visite, qui s'apparente en réalité à un des douze travaux d'Hercule....
Laissez-moi un peu de temps. Please...
Faut dire, je m'amusais bien avec les trolls, à combattre ou à rire acide avec eux, il m'en auraient fait oublier les réels commentaires.
Bon, vous z'inquiétez pas Mam'zelle, comme vous maniez l'ironie au dernier degré, vous survivrez à ces quelques jours.
Sans compter que même une mauvaise note vous attirera des centaines de curieux. Ainsi que du tohu-bohu sur votre page.
Heureuse ?
Bises gluantes (la nuit, il arrive que je me transforme en troll, à force de jouer avec eux)
NB : Je remonterai déjà les étoiles à 4 et modifierai mon commentaire avant véritable lecture...Quand je reviendrai chez moi car impossible de le faire depuis mon portable...
Mais oui, ça trolle énormément sur le site...
Cancrelats par contre, non, quelques oies blanches, oui.
Ah, les trolls...
Je vais sans doute me transformer en l'un d'eux, à force d'en entendre parler, car on m'a ôté ma naïveté.
Vous, Isabelle, vous êtes soupçonnée d'être un troll, Monsieur K. Carson aussi. Jeu de mots K. Ca... ?
D'où l'apostrophe brutale et ma préparation au combat.
Mais si je n'ai pas lu en entier ou ai accumulé d'abominables dettes de lecture, c'est parce que je me trouvais comme un enfant ayant libre accès aux rayons d'un magasin de bonbons, j'ai tout goûté avec frénésie.
Je finirai la lecture de votre écrit, que vous soyez noire et poilue comme sont les trolls, ou pas...
Ah, ah, ah, à bientôt !
Ne vous inquiétez pas Isabelle, une bande de cloportes sévit dans ces lieux depuis des années. Leur but ultime est de faire chier les autres, en particulier ceux ou celles qui dérangent. C’est donc un bon signe pour vous. J’ai eu affaire à une époque à cette bande de dégénérés, lettrés de pacotille qui donnent des avis tous azimuts alors qu’ils ne produisent que des navets illisibles où, au bout de cinquante pages de tergiversations réputées littéraires, ils n’ont finalement rien dit.
Allez visiter leur page, comme je vais également le faire et faites-vous une idée de leur degré de connerie avant de vous lancer dans une quelconque polémique.
Ils se flattent, se bichonnent pour monter dans le classement à coup d’étoiles, alors qu’en dehors du cercle restreint de leurs fans de circonstance, qui s’arrêtent d’ailleurs au titre et au nom de l’auteur pour encenser l’œuvre, personne ne lit un traite mot de ce qu’ils écrivent.
Ils ont voulu jouer à une époque, ils se sont fait démonter.
Je pense devoir un de ces quatre reprendre la plume pour écrire à nouveau l'histoire de leurs aventures fantastiques.
Si je ne lis pas, ce sera faute de temps... Je note mon envie de revenir, sans doute liée à la curiosité à 3/10. J'aime bien découvrir, même quand cela ne me plait pas tant. J'aime comprendre les gens...
@K. Carson
Merci pour votre sympathique commentaire qui me touche et m'incite à poursuivre cette histoire de branquignoles qui n'ont pas fini de nous en faire voir.
J'espère vous apporter un peu de bonheur et de rire.
Merci encore.
@Monique Louicellier
Passez votre chemin gente dame, je ne changerai rien, persuadée que dans tous les cas vous n'irez pas plus loin que la page 2 sur laquelle vous venez de vous arrêter.
D'autant que rien ne vous oblige à lire une suite qui risque de vous désespérer tant elle est écrite au jour le jour sans me préoccuper un seul instant ni de la formule, ni de la syntaxe qui ne sont souvent que de pure convention, cachant souvent la médiocrité d'un fond inexistant. Cela n'intéresse ici que les coupeurs de cheveux en quatre dont je m'exclue par bonheur.
Je suis ici pour m'amuser et amuser ceux qui apprécient un humour au dessus duquel vous semblez vouloir vous placer. Il y a certainement ici bon nombre de romans sur lesquels vous pourrez vous extasier.
Cela dit, votre avis est un avis, ni plus ni moins. Merci de l'avoir donné.
@Marc Delaby
Merci Monsieur le Maire. J'espère que dans votre village il en va tout autrement (rires).
C'est pour moi un encouragement à poursuivre, surtout si cette histoire fait du bien aux lecteurs. Tous les commentaires sont bien sûr les bienvenus.
J'hésite à le promouvoir. J'attends des réactions comme la votre et puis on verra.
Merci encore et donc à bientôt.
J'ai entamé la lecture de votre livre et j'ai hâte de la poursuivre, comme on poursuit un chemin parsemé de surprises, d'humour qui font du bien. Je vous tiendrai informé de mes ressentis. A très bientôt,
@MJS.
Merci pour votre sympathique commentaire, preuve que dans ce bas monde on peut encore trouver des personnes qui aiment l’humour.
Merci également de suivre ce village qui, n’en doutez pas, réservera encore bien des surprises.
A bientôt.
@Joseph Lestrange
Monseigneur,
Vous surprendrais-je en disant que j’attendais votre visite avec impatience ? J’avais déjà préparé le couvert dans cette cuisine aux relents de cassoulet que vous aimez tant.
Merci d’avoir lu le titre de cet ouvrage et c’est un honneur, croyez-le bien, de vous accueillir en si bonne compagnie. Vos propos m’honorent et vos messages subliminaux en forme de prescription médicale me vont droit au cœur, car en effet si « guitare » et « naviguer » n’ont pas la même racine, il en est de même pour les congrégations de soeur « Constance » et mère « Apostasie » qui s’opposent et se jalousent depuis des siècles.
Je sentais bien, à vous lire sur une autre page, que quelque part la gaudriole allait vous manquer.
Alors, cher ami, la bienvenue dans ce village si particulier dans lequel va se jouer un suspens insoutenable.
@Isabelle Blackeney
Cher ami (je vous donne du "cher ami", car je subodore [poil au pylore !] que vous n'êtes pas plus femme que je ne suis prélat de l'église anglicane) ; cher ami et néanmois lanceur d'alerte, je ne puis que vous féliciter d'avoir poussé l'audace jusqu'à prendre pour sujet l'auto-immunité insupportable de certaines maladies, tels le scorbut génital, le coryza plantaire et la piéride intestinale. Il en fallait du courage, disons plutôt de la témérité, et cette témérité, vous l'avez eue, en dépit des menaces qui ont dû peser sur vous de la part de l'industrie pharmaceutique internationale (celle qui invente des maladies en même temps que leurs remèdes). Sans jamais fléchir ni céder au sentimentalisme, au mépris des basses oeuvres de l'Ordre des Médecins (dont on connaît tous les odieuses prévarications), dans un style à nul autre pareil (sauf peut-être à celui de Roland Palsambleu, l'auteur fameux de "Faudrait quand même freiner avant le virage", cette ode parsifalienne au vide-poche considéré comme le substrat philosophique de la parthénogenèse), un style qui pousse l'originalité jusqu'à prendre le fond pour la forme et la forme pour un porte-manteau, avec une richesse de vocabulaire à faire pâlir de jalousie M. Larousse lui-même (je ne vous reprendai ici que sur un point : "guitare" et "naviguer" n'ont pas du tout la même racine araméenne), vous dénoncez l'épouvantable complicité qui prospère entre l'allopathie, l'homéopathie, les pathologies circassiennes, le jeu de paume et les tables tournantes. C'est héroïque, c'est hégélien et c'est beau. Bravo.
PS : Je vous aurais volontiers décerné les cinq étoiles propitiatoires que MBS met élégamment à la disposition et à la discrétion de ses usagers, mais il se trouve que je ne vous ai pas lu (j'allais m'y mettre, quand Parthemise33, la chatte alcoolique que j'abrite en mon aire, s'est abandonnée à sa crise de delirium tremens hebdomadaire ; il a fallu que je me porte à son secours en lui injectant des doses massives de bicarbonate de soude, ce qui a contrarié l'envie première que j'avais de découvrir de visu l'oeuvre dont vous vous êtes rendu coupable ; ensuite mon envie s'était envolée). Ma petite-fille Albertine, une gamine typiquement proustienne, de celles qui interrogent les madeleines pour tout savoir de son propre passé, me glisse qu'il serait tout à fait déraisonnable de ma part de noter une oeuvre dont je ne connais que le titre. Je pense qu'elle a parfaitement raison sur ce point, ce qui ne m'empêchera pas de copieusement la fesser pour lui apprendre de ne pas se mêler des affaires des grandes personnes. Bref, voilà ce qui explique une absence stellaire, que vous ne devez surtout pas prendre pour une injure à votre prétérition littéraire (que j'imagine de haute volée).