J'ai mangé ma femme...

63 pages de Fred Oberson
J'ai mangé ma femme... Fred Oberson
Synopsis

Ne dit-on pas à une femme, lorsque l’amour que l’on éprouve envers elle est si intense et passionné, qu’on la mangerait ? Sublime gourmandise partagée si elle aussi ressent le même désir !
Depuis quand cette idée de manger cette femme venue de la mer m’est-elle venue ? Dès cette rencontre inattendue, j’ai été subjugué par tant de beauté et de fraicheur, tout en elle inspirait le désir et l’amour quand elle m’est apparue, telle une nymphe sortant de l’eau, elle s’approchait en marchant sur la pointe des pieds dans le sable chaud de la plage, des perles d’eau ruisselaient sur sa peau ivoire, brillaient au soleil de mille diamants, le ciel bleu azur se noyait dans la mer bleue océan, je ressentais des bleus à l’âme à l’idée qu’elle passe son chemin sans me prêter attention.

Publié le 17 Mai 2016

Les statistiques du livre

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Ce livre est noté par

9 commentaires , 3 notes
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@halicki

Vous êtes très généreux avec votre commentaire. Vous me battez à plate couture dans le parcours de votre vie... J'ai aussi pratiqué une dizaine d'activités dans la mienne. Je vais vous découvrir dans votre dernier livre. Bien à vous, Fred Oberson

Publié le 11 Mai 2020
5
Merci @Fred Oberson pour cette, ce ... texte d'une grande poésie. Cet objet littéraire est un un ovni. Il oscille entre la nouvelle et la micro thèse, entre la poésie et la prose pure. Les mots sont pesés, les phrases travaillées, sculptées, ciselées avec une grande habileté. En un mot : bravo !
Publié le 05 Mai 2020

@ Bonjour Jean-Luc,
Entre le plaisir d'écrire et celui d'être lu... voici la gageure ! Merci de votre gentille attention.

Publié le 12 Mars 2019

Bonjour @Fred Oberson
Un beau texte très poétique, que j'ai pris plaisir à lire tout en rêvant à cet îlot caché, ce volcan éteint qui, surgissant des flots, vous permit de donner tout votre amour à cette jolie sirène sortie tout droit de votre imagination fertile.

Publié le 08 Mars 2019

@ Fred Oberson
Cette nouvelle prenante a de quoi faire réfléchir.
Pleine de vérité on s'identifie aisément. Se demandant si nous aussi, par amour fou, on aurait osé dévorer l'être aimé.
Bravo et salutations de Montreux.
Stéphane Mansour.

Publié le 03 Novembre 2016

@Fred Oberson
J'attends toujours que vous lisiez mes nouvelles, cher Fred ! Cela fait toujours plaisir un retour de lecteur, n'est-ce pas ? :) Bien à vous !

Publié le 25 Octobre 2016

@Zulztabix
Perdu dans les oliviers, je vous remercie tardivement et je vais lire vos nouvelles. Bon dimanche d'écriture!

Publié le 18 Juin 2016

@Fred Oberson
Si d'aventure, au pied de l'un vos chers oliviers, l'envie vous prenait subitement d'aller zieuter mes petites nouvelles, afin d'y trouver peut-être quelque ombrage sous un soleil cuisant, j'en serai fort ravi. Bien à vous !

Publié le 31 Mai 2016

@Chris Martelli
Les sirènes ont le pouvoir de changer la fiction en réalité !
Bien à vous, Fred

Publié le 29 Mai 2016
5
Je vous retrouve… Votre Noël a été prolixe. A un précédent commentaire, vous me répondiez, je crois, qu’il n’y avait pas vraiment de fictions, qu’il y avait toujours un peu de vécu de l’auteur dans un récit….. Brrrr, j’en frissonne !
Publié le 29 Mai 2016

@Zultabix

Dévorons, dévorons l’amour, dévorons les mots, dévorons vos cent lignes, jusqu’à plus soif d’un repas sans fin et toujours renouvelé.
Merci d’avoir survolé le ciel, au-dessus de mes oliviers que je cultive, que je chérie comme des amantes.
Amicalement, Fred, le cannibale

Publié le 17 Mai 2016
5
Magnifique ! Du grand Art ! Je profite d'être votre premier commentateur pour faire ce bon mot pitoyable : j'ai dévoré "J'ai mangé ma femme". La toute fin est splendide ! Je n'étais plus à Paris sur mon siège devant mon PC. Vous cherchiez la sirène comme un vieux fou et j'étais dans le ciel, et j'étais votre ami l'albatros ! Bien à vous !
Publié le 17 Mai 2016