" Chaque progrès dans l'art d'écrire ne s'achète que par l'abandon d'une complaisance. "
André Gide
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Haussement d'épaule. Profond soupir. Il est plus que temps de laisser la place à d'autres de donner leur propre point de vue. Le reste n'est vraiment pas le sujet. Désolé.
Jeune fille, l'essence de soi n'est pas soi mais le message que l'on a à transmettre et devant lequel on doit au contraire réussir à s'effacer pour ne plus parler que de soi.
Mais à vous lire je comprends votre méprise.
Au fond, ce que nous dit Gide n'est-ce pas que l'art d'écrire sur un sujet, quel qu'il soit, est celui de se dévêtir, de se départir de son ego, son fardeau de préjugés et convenances et puis... de savoir décrire aux autres cet effeuillage, cette mise à nu de l'essence de soi avec une certaine aisance et un permanent décalage ?
Un certain général fort célèbre aurait pu dire, à la lecture de cette citation de Gide : "Ah, vaste sujet !"
N'étant qu'un laborieux écrivaillon provincial, je n'ai rien à concéder afin de plaire à mes lectrices et lecteurs ; ni à mes détracteurs... les chemins de l'écriture sont parfois semés de roses, n'en refusons pas les épines.
Cordialement et avec humour.
Philippe.
On ne progresse dans l'écriture, ou ailleurs, que lorsqu'on accepte les critiques dites négatives. Les leurres des éloges complaisants sont un frein à la progression vers la qualité.
Haussement d'épaule. Profond soupir. Il est plus que temps de laisser la place à d'autres de donner leur propre point de vue. Le reste n'est vraiment pas le sujet. Désolé.
Jeune fille, l'essence de soi n'est pas soi mais le message que l'on a à transmettre et devant lequel on doit au contraire réussir à s'effacer pour ne plus parler que de soi.
Mais à vous lire je comprends votre méprise.
Au fond, ce que nous dit Gide n'est-ce pas que l'art d'écrire sur un sujet, quel qu'il soit, est celui de se dévêtir, de se départir de son ego, son fardeau de préjugés et convenances et puis... de savoir décrire aux autres cet effeuillage, cette mise à nu de l'essence de soi avec une certaine aisance et un permanent décalage ?
Peut-on avoir en soi l'art d'écrire sur le progrès, sans complaisance ?
Un certain général fort célèbre aurait pu dire, à la lecture de cette citation de Gide : "Ah, vaste sujet !"
N'étant qu'un laborieux écrivaillon provincial, je n'ai rien à concéder afin de plaire à mes lectrices et lecteurs ; ni à mes détracteurs... les chemins de l'écriture sont parfois semés de roses, n'en refusons pas les épines.
Cordialement et avec humour.
Philippe.
On ne progresse dans l'écriture, ou ailleurs, que lorsqu'on accepte les critiques dites négatives. Les leurres des éloges complaisants sont un frein à la progression vers la qualité.
Pour rester gidien : Choisir, c'est renoncer.
Alexis