Marie-Hélène Renaud-Fontès publie des nouvelles qui sont autant d’évasions : l’Inde au temps de Gandhi, L’Egypte des Pharaons, le Rif marocain, les indiens du Wyoming.
Était-elle prédestinée à ces voyages réels ou imaginaires ?
Ses nouvelles ont été publiées dans diverses revues.
La découverte d'un tombeau royal dans la Vallée des Rois, près de Louxor, plonge les archéologues français et leur homologue égyptien dans un total émerveillement. Mais comment, pourquoi, cette tombe a-t-elle violée alors que les richesses qu'elle contient n'ont pas été dérobées ? Qui est cette femme dont le sarcophage repose dans celui d'un prince de sang royal ?
Marie-Hélène Renaud-Fontès est née sur une petite île vendéenne, qu’elle a quitté à quatre ans, son père, navigateur, l’emmenant vers d’autres cieux.
Sa plume nous fait à notre tour voyager.
Au-delà du fond historique de votre récit, cette période trouble de la lutte pour l’indépendance, je me suis remémoré avec plaisir un voyage que j’ai effectué il y a bien des années dans le nord de l’Inde en allant vers le Ladakh. Je ne suis pas allé dans la région de Uttar Pradesh mais je peux témoigner de ces rituels ancestraux, de ces senteurs typiques faites, comme vous l’indiquez, de ce mélange surprenant de parfums subtils, d’encens mais aussi de putréfaction. Le rythme de votre écriture ainsi que les descriptions de la nature, suggèrent la douceur ; une atmosphère qui appelle l’apaisement et pourtant… J’ai reconnu, en regrettant que vous ne les ayez pas approfondies, les conceptions dans ces régions de la famille, de la solidarité et du pacifisme, mais aussi, paradoxalement, cette violence qui couve et peut atteindre des extrêmes aujourd’hui encore. Votre récit mériterait d’être développé, peut-être y songez-vous ?
C’est une belle histoire et je regrette, connaissant un peu l’Inde et l’aimant beaucoup, que vous vous soyez contenue dans un récit aussi court. Votre manière de raconter en quelques mots, de faire voir une scène, des gens, un flamboyant ou un cobra agonisant, de faire sentir une odeur, pourrait certainement trouver une expression aboutie dans un récit plus développé.
Plus un conte qu’une nouvelle, sans doute, mais qu’importe, c’est même un songe par une nuit d’été ! De l’art de la nouvelle, il y a cette brièveté qui fait qu’en quelques lignes, on est transposé dans un ailleurs, on perçoit les personnages, on les entend. Et du songe, le conte de fée ! Merci pour ce partage.
Permettre cet échange entre auteurs et lecteurs, c’est la raison de monBestSeller.
@Ahmed Bouchikhi
Je vous remercie pour ces commentaires encourageants. Je suis heureuse de faire ainsi voyager mes lecteurs, de partager avec eux ce que je ressens moi-même.
@Marie-Hélène-Renaud-Fontes Contexte historique bien maîtrisé. Plume fluide et efficace. J'ai beaucoup aimé votre texte.Bon courage.
@Marie-Hélène-Renaud-Fontes Bonjour, merci pour cette invitation au voyage.