L’Albatros, luxueux ketch, a appareillé pour un tour du monde. A son bord, un skipper désespéré d’avoir perdu sa femme en mer quelques mois plus tôt, et quatre membres d’une famille qui ont chacun un lourd secret et une bonne raison de ne pas souhaiter cette croisière prétendument idyllique. Contraints de déballer leurs plaies, ils vont affronter l’enfer d’un huis clos.
Une très fine analyse psychologique menée par un psychothérapeute.
Jean Benjamin Jouteur est l’auteur de la trilogie “Errances d’un pantouflard”, sélection du Prix Concours 2020.
Herveline a disparu corps et biens dans le golfe de Gascogne. Des mois après, Loïc refuse d’admettre que sa femme ne reviendra pas.
Estelle, 17 ans, se sent prisonnière à bord du luxueux ketch de son père.
Rien ne destinait ces deux-là à se rencontrer, pourtant une mystérieuse messagère va les réunir sur le voilier.
Comédien et psychothérapeute, concepteur d’outils interactifs, enseignant spécialisé dans le théâtre social, ses livres sont des versions romanesques de spectacles qu’il a créés.
J'ai adoré ce voyage plein de mystère et de poésie, cher @J.B.Jouteur. Une ambiance caractérisée par un fin connaisseur de la mer, monde magnétique comme ce livre. Bon vent, alors...
Quelle étrange chose.... Voici un roman que j'ai adoré, mais je suis incapable de dire pourquoi. Sans doute l'idée de faire le tour du monde en bateau avec toute sa famille / huis clos / incompatibilité des caractères / risque et défi (n'ayant que le permis côtier, j'ai déjà pu constater qu'à la moindre houle en zodiac, on se sentait comme dans une lessiveuse à 1 000 tours/min !). Mais qu'importe, tout cela est parfaitement crédible, haletant, sensible. Le style est, sinon exceptionnel, tout du moins impeccable (à quelques coquilles près). Un roman humain, potentiellement réaliste et brillant. Félicitations et merci
"L'océan coule dans tes veines" écrivez-vous dans une de vos pages. J'ai eu l'impression d'y avoir plongé, dans votre océan, en lisant "La messagère de verre" (entre nous, quel beau titre). Je pense que vous avez trouvé une manière de raconter qui épouse parfaitement votre sujet : il y a des remous, des courants, du vague aussi, et des moments de calme avant un avis de vent fort, roulis et tangage... La marée, vous l'avez dans le cœur, c'est ce qui rend vos personnages si vivants, si vrais, et vos histoires de marins... parfaitement maritimes (LOL). Votre univers onirique est riche, et a suscité chez la lectrice de troublantes réminiscences de légendes, de rêves inaboutis.
Bien écrit, bien ficelé, efficace ! J'ai passé un excellent moment avec des personnages attachants, parfois émouvants même ! J'ai énormément apprécié le jonglage entre les prises de parole, pas seulement entre chapitres, je ne peux en dire plus mais c'est ce type d'expériences d'écriture qui m'intéresse, des trucs pour casser la narration unilatérale. Un récit très près de la réalité, de la vie, merci beaucoup.
C’est la mer qui prend l’homme…. J’ai chantonné Renaud en vous lisant, il y a cette rudesse et cette tendresse associées dans vos mots. Étonnant récit, on a peine le temps de rencontrer vos personnages qu’on connait déjà leur zone d’ombre et de secrets. Mais il y a cette histoire qui porte, ces personnages dessinés à la pointe sèche, ce voyage, cette descente programmée dans les révélations qu’on connaît à l’avance et dont on se demande comment elles vont éclater, et on n'est pas déçu, c’est bien un roman et comme vos autres lecteurs, j’ai été pris.
C’est pour cela qu’elle le publie sur monBestSeller.
@jean-benjamin Jouteur, Bonjour, Souvenir du salon de Guérande où nous étions voisins, et perspective du salon de Berric (mi-octobre)... donc, à bientôt !
je viens de télécharger le dernier livre de Jouteur, la messagère de verre. Pour moi qui apprécie plus la montagne que la mer, c'est un challenge, presque un exploit. j'en ai profité pour récuperer d'autres livres ecrits par d'autres auteurs. Je me lance dès aujourd'hui sur ce si beau bateau qui a pour nom l'Albatros. j'ignore encore de quoi sera fait ce voyage mais j'ai tant apprécié les errances de cet auteur, unlivre que d'ailleur je n'ai pas retrouvé sur ce site, pourquoi, ? que je ne m'inquiète pas trop. Je prévois la dramamine (medicament contre le mal de mer)
J'ai moi aussi rédigé un commentaire et je ne peux m'empêcher de rajouter mon petit grain de sel à cet article. On rencontre beaucoup Jean-Benjamin sur ce site... Et c'est tout à fait mérité. Je viens de commander sa série des "errances d'un pantouflard"et je suis certaine que je ne serai pas déçue. Je ne profiterai pas des dédicaces, tant pis. En tout cas, je valide l'ensemble des commentaires cités sur cet article. (moi je n'ai pas trouvé les quelques coquilles (lol)