Marguerite Rothe
Présentation

"Lire, écrire, lire, écrire... Deux activités, une passion”
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Marguerite Rothe a noté ces livres

3
L’an dernier, lorsque j’ai lu votre nouvelle : Le Projet Traumaless, je me souviens que je vous avais dit avoir beaucoup aimé, mais aussi, que j’étais restée sur ma faim avec la chute, que j’avais trouvée trop plate. Vous m’aviez alors répondu que cette nouvelle était en fait un projet de roman. Roman que je viens de lire, et qui m’a totalement séduite cette fois. Avec Le projet Traumaless, le lecteur est entraîné dans un récit de hard SF, un genre que j’affectionne particulièrement. Tout le langage technique utilisé ainsi que les formulations, sont impressionnants de justesse. Au point qu’on ne peut s’empêcher de s’interroger sur votre profession : Psychiatre ? Scientifique ? Ingénieur ? Tout y sonne juste, tant sur le plan scientifique que celui de l’humain, et c’est carrément bluffant. On est plus dans l’anticipation que dans la SF pure, surtout quand vous parlez de l’assouplissement du protocole de soins par Traumaless ; en effet, nos sociétés connaissent ce problème, réel et grave, au sujet des vaccins (mais pas que) qui sont mis sur le marché avec des délais de carence de plus en plus courts, et cela, pour des raisons de rentabilité. Délais qui permettaient autrefois d’avoir un idée réelle de leur impact sur les individus. Merci beaucoup Philippe pour cette excellente lecture, et bonne continuation à vous, Marguerite. PS : cf. p.44 : devant faire preuve (d’) altruisme.
Publié le 16 Janvier 2017
3
Hé ben dis donc Zultabix, que de déclarations d'amour à ton encontre sur ce fil ! Bon, moi, je vais te dire tout simplement que La vraie couleur des gens m'a fait vibrer, que j'ai aimé, et que j'ai pensé en lisant tes mots : à#!@ (censuré) ce mec, mais qu'est-ce qu'il écrit bien ! Mais, et surtout, parce que bien écrire ne fait pas tout, quelle sensibilité ! Merci pour le partage, il est grandement apprécié. Bien à toi, Marguerite.
Publié le 19 Décembre 2016
3
Oui, la poésie a un pouvoir magique de transcendance à qui sait s’ouvrir à sa vibration. Très beau texte, intemporel et superbement travaillé… au point que ça ne se ressent pas du tout à la lecture. Ça s’appelle le talent. Vous aimez les mots, et, je le vois bien, les mots vous aiment également. Enfin, j’ai ressenti à travers vos phrases une vraie passion pour la lecture, ainsi que celle de l’écriture, son immanquable corolaire lorsque l’amour de la littérature est véritablement là. Merci pour ce joli moment. Bien à vous, Marguerite.
Publié le 13 Décembre 2016
2.4
Ça faisait un moment que j'avais votre livre dans ma pile à lire, ce soir j'ai donc ouvert L'innocence d'un enfant. Et j'ai bien aimé. Le lecteur est très vite propulsé dans votre histoire, dont le sujet n'était sûrement pas un des plus facile à traiter. Côté technique, vos personnages sont bien campés, mais ils gagneraient en crédibilité s'ils étaient un peu plus étoffés. Par ailleurs, la quasi absence de décors dans lesquels ils évoluent, ont manqués à la lectrice que je suis. Quand on écrit, surtout si c'est un roman, il faut garder à l'esprit que le(s) décor(s) donne(nt) du relief à l'histoire, de même que les réflexions intérieures en donnent aux personnages. À vous lire, on sent que vous aimez écrire, et c'est ça qui est important ; et pour vous et pour vos lecteurs ! Je vous souhaite une bonne continuation, bien à vous, Marguerite.
Publié le 05 Décembre 2016
3
Je crois que c'est toujours plus compliqué lorsqu’on travaille en alternance sur plusieurs écrits. Se remettre chaque fois dans le contexte psychologique du départ sur l'un d'entre eux est toujours compliqué, surtout si le laps de temps entre chaque reprise est étendu. Mais bon, même sans cela on sait bien qu’il y a des histoires qui nous coûtent plus que d’autres. Je crois aussi que ce ne sont pas les textes courts qui sont forcément les plus faciles à mettre en forme. Ceci dit, ne touche pas au premier paragraphe, il est parfait. Parfait (de mon point de vue). Sa puissance d’évocation est à couper le souffle. C’est ton talent (gros veinard, va !). Pour revenir à Joséphine, je me demande si l’on ne pourrait pas dire qu’elle souffre d’une forme sévère de bovarysme. En tout cas, et grâce à ta plume, c’est ici une maladie dont on peut guérir. --- Merci pour le partage Zultabix. Bien à toi, Marguerite. PS : cf. l’orthographe de : Arto Paasilinna.
Publié le 05 Décembre 2016

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