Christine Rossier

Quatre livres publiés, dont un sous pseudonyme, m'ont accordé l'espoir de gagner une place dans ce monde, ce destin cherché depuis l'enfance, celui du paysage des mots.
Les premiers récits datent de l'école primaire, lorsqu'à l'école, nous avions lu l'histoire d'un lapin. Au terme du livre, le chagrin de perdre ce petit compagnon imaginaire fut impossible à surmonter. Une seule solution pour retrouver la joie : écrire la suite, selon mon imagination. C'est ainsi que tout commença. Plus tard je devins correspondante pour plusieurs journaux locaux.
Après avoir connu les effervescentes conversations entre écrivains, ceux qui me conseillaient, m'encourageaient, j'ai rencontré le doute, souvent les moqueries, mais pourtant, je n'ai jamais cessé d'écrire.