Depuis toute petite, j’écris, mais sans jamais réussir à mettre le mot FIN sur l'un de mes débuts de roman. Je ne partageais jamais mes écrits et en parlais juste un peu avec ma famille. Pourquoi, je ne sais pas trop ! Certainement peur de ne pas plaire, de la critique, d’être ridicule. Lorsque j’ai commencé à écrire le souffle du diable, je me suis forcée à en parler, d'abord timidement puis de plus en plus facilement, car les personnes étaient réceptives à mon projet. Le soutien de mon entourage, la découverte des groupes d'auteurs et lecteurs sur les réseaux m’a encouragée. Peu à peu, les mots s'alignaient les uns derrière les autres et j’ai enfin inscrit le mot FIN quoique pas vraiment, car j’ai encore beaucoup de choses à faire vivre à mes personnages et il y aura donc un tome 2.