L’écriture c’est comme la mer, parfois c’est le calme plat, je pense même qu’elle dort.
Tout à coup, sans prévenir, une nuit, un jour, peu importe l’heure et le lieu, les premières vagues arrivent, mon poignet se délie, le clavier s’agite, la tempête se déchaine et c’est la déferlante, celle qui m’emmène parfois plus loin que j’aurais imaginé.