Amoureux des haïkus, j'ai eu un jour la fallacieuse impression qu'ils étaient faciles à créer. Après moult difficultés, j'an ai fait un. Et mauvais, en plus. D'où une grande admiration pour celui, celle, qui y arrive. Ici, c'est réussi. On entend souvent la petite musique intime qui rappelle Bashô, qui évoque Issa, Buson, Issa ou Soseki. Bravo l'artiste !
Publié le 24 Mars 2023