Lydia KARVINE

Biographie

Née en 1964 à Toulon, j'ai poursuivi des études de philosophie à Nice, ce qui m'a amené à enseigner. J'enseigne aujourd'hui à Nantes, et me consacre à mes passions: la nature, la culture dans tous les sens du terme, le jardin clos et l'autre... le jardin intérieur sans limites, infini comme les rêves, et bien sûr la lecture et l'écriture. J'ai écrit des pièces de théâtre qui ont été mises en scène et jouées; des nouvelles, de la poésie mais je n'ai pas publié. Le roman épistolaire que je présente ici est mon premier roman.

Lydia KARVINE a publié

Lydia KARVINE a noté ces livres

3
À chacun ses insomnies. J’ai bien aimé « Poubelles » que j’ai trouvé poétique et irréel, ambiance « Les nuits blanches »de Visconti. Et restée dans cette ambiance j’ai aimé « juste une petite erreur ». L’amour heureux , pris pour modèle par des chinois, il fallait le trouver ! Phil était déjà en pointillé, dans un clair-obscur cinématographique et même philosophique: le couple parfait et encensé, pouvait-il être vrai ? J’ai deviné la fin, dès les premiers mots, à cause du brouillard qui continuait d’arriver sur la pellicule. Belle journée blanche.
Publié le 18 Octobre 2024
3
Félicitations pour ce recueil. J’ai aimé Jesse Owens ; une strophe démente ! Très émouvant le poème sur la Vésubie.. Le diable se cache dans les détails. Certains poèmes contiennent un monde comme dans les boules de neige. C’est dedans, c’est capté. Et le petit Hitler est dans la boîte avec le grand Jesse . Merci !
Publié le 05 Octobre 2024
3
Témoignage captivant. Les "instants de vie" se succèdent aussi denses qu'émouvants. Il y a un fil conducteur, le récit est bien mené, rythmé, chronologique; il y a un fil invisible, "Ariane ou la synchronicité" où se jouent des moments de bravoure. J'aimerais pouvoir lire la suite... Merci pour ces confidences.
Publié le 01 Octobre 2024
3
Beaucoup de plaisir à la lecture. C’est pertinent, drôle, incisif et touchant à la fois. Merci !
Publié le 18 Septembre 2024
3
Merci pour ce beau texte. Il touche au cœur. Il faut commencer par se demander ce que l'on souhaiterait nous, à cette place-là, ne serait-ce que pour comprendre le désarroi et la souffrance de cette dissolution de la personne moins par l'absence de mémoire que par l'absence d'humanité. Ce texte recentre, il va à l'essentiel, fait sourire: le détecteur d'empathie en 2055. Bref, ça met la boule au ventre et l'espoir au cœur. Bravo !
Publié le 14 Septembre 2024

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