Marie-Hélène Renaud-Fontès a vu le jour au cœur d’un hiver des années cinquante, sur une petite île vendéenne.
Est-ce parce qu’elle a quitté très jeune - à l’âge de quatre ans - sa Vendée natale en raison de l’activité professionnelle de son père, navigateur, elle s’est sans cesse tournée vers d’autres cieux.
Était-elle prédestinée à ces voyages réels ou imaginaires, sans doute, car c’est à travers eux qu’elle a puisé les éléments nécessaires à l’écriture de ses nouvelles qui ont été publiées dans diverses revue : Maxi, Côté Femmes, Les Veillées des Chaumières, Large Vision.
Mais c’est sa quête de Lumière, incontestablement, qui l’a poussée, dès l’adolescence, à chercher des réponses aux nombreuses questions existentielles qu’elle se posait.