Dans un contexte social connu par la
générosité, une qualité très louée et appréciée,
les histoires des avares des conteurs arabes
critiquaient l’avarice, avec une légère ironie,
visaient le loisir et le rêve, mettant en exergue
des traits d’une personnalité amusante, sans
vouloir offenser ou stigmatiser.
Or, au contraire, ces avares jouissent plutôt de
l’empathie et de la pitié, on racontait afin
d’amuser le lecteur tout en préservant le statut
de l’avare.
C’est vrai que l’avarie est une qualité non
acceptable, mais le grand auteur la décrit d’une
façon caricaturale comique, comme voulant
sympathiser avec la personnalité, l’invitant à
corriger son comportement et revenir au
groupe
Ce livre est noté par
Bonne lecture cher @BENNADJI2022
@Mostafa Chakib
De la culture, du patrimoine, de l'humour, de l'ironie ... merci pour ce partage
Oui cher @René Sauvage de la belle litérature de la belle époque, avant que tout change!
Je salue votre gout!
Sans jeux de mots, vos contes sont très plaisants, je ne connaissais pas cette tradition, mais la lire est très amusant. Merci pour ce partage.
Merci cher @Hubert, on dit chez nous "La beauté est chez les siens".
On plonge dans un autre monde, des références exotiques pour nous. J'ai souvent souri...n'est-ce pas là l'essentiel. Merci pour le partage