Comment réussir dans l’auto édition ? La stratégie et le témoignage d’un auteur à succès. Inspirant. Patrick Ferrer, auteur du Baiser de Pandore possède un sens des personnages hauts en couleurs et une vraie maîtrise de l’intrigue. Nous le soutenons dans son travail. Il nous parle du rôle de monBestSeller dans son parcours. Sans artifice.
monBestSeller, selon vous, quelle influence dans le parcours de votre livre ?
Cerner l’influence de monBestSeller en quelques mots, cela va être difficile tant mBS m'a personnellement apporté.
Et ce sont ceux qui me sont restés le plus proche. Les liens que cela m'a permis de tisser sont assez privilégiés.
D'abord, avec les lecteurs. Leurs avis et retours ont été primordiaux, parce que je n'avais jamais publié avant et leur soutien et encouragements m'ont apporté la détermination nécessaire à franchir le pas de l’édition grand public.
Je sais qu’un certain nombre d’entre eux m’ont suivi dans cette aventure. Je ne sais pas combien exactement ont franchi le pas d’acheter mes ouvrages, mais pour moi ce sont des lecteurs hautement qualifiés parce qu'ils l'ont fait en sachant pertinemment pourquoi ils achetaient mon livre. Ils avaient lu une bonne partie du manuscrit, avaient aimé et ils voulaient la suite.
Parce qu’ils ont été les premiers, ils font en quelque sorte partie de l’aventure, et je sais que je peux compter sur eux pour mon prochain ouvrage.
Y a t ’il un cycle de vie du livre sur la plateforme monBestSeller.com ?
Un aspect intéressant, en tant qu'auteur, est que l'intérêt pour mon roman sur monBestSeller.com n'a pas tari en maintenant plus de deux ans. Il y a toujours une moyenne de 10 lectures par jour, 365 jours par an, soit plus de 7 500 lectures cumulatives. Ça n'a pas arrêté depuis le premier jour. Ce n'est pas anodin pour un auteur parce qu'aujourd'hui, j'ai un peu le même phénomène sur les ventes. C'est à dire que mon livre se vend régulièrement chaque jour. Depuis sa parution il y a quatre mois, il maintient quotidiennement une moyenne de ventes qui lui permet de figurer régulièrement dans le top 100 Amazon, et ça augmente progressivement.
Je ne peux pas comptabiliser cela en chiffres exacts mais ça suit le même schéma. Donc publier sur mBS m’a également permis d'avoir un ressenti du succès futur du livre une fois lâché dans la nature. Et ça n’a pas loupé.
Comment mBS vous a-t'il aidé à vous faire connaître ?
J'ajouterai, à titre personnel,
(je ne peux pas les nommer mais l'un d'entre eux a été fondé il y a 170 ans, pour dire), alors que l'envoi d'un zillion de manuscrits par la poste (qui m'a coûté une petite fortune) ne m'avait jamais permis d'établir un vrai contact. Donc c'est aussi un des avantages de cette plateforme qui n'est pas négligeable.
Vous avez écrit un livre : un roman, un essai, des poèmes… Il traine dans un tiroir.
Publiez-le sans frais, partagez-le, faites le lire et profitez des avis et des commentaires de lecteurs objectifs…
Bonjour,
dans plusieurs écrits de MBS, je trouve des graphies du genre. y a t'il ou existe t'il
Non, l'apostrophe n'est à mettre que pour remplacer un e élidé, comme dans je t'aime.
Le t de y a-t-il est un t euphonique, il doit être entouré de traits d'union.
Oui, je suis très soucieux d'orthographe, car celle-ci contribue à la clarté des messages.
J'ai beaucoup travaillé avec des Américains, il est exact qu'il se moquent de l'orthographe... mais quand vous montez dans la hiérarchie, les communications sont de plus en claires et leur orthographe de plus en plus soignée, de plus en plus british.
Jan.