Elle qui cultive le souvenir. Lui qui apprivoise l’oubli sans succés... C'est très joli. Si je puis me permettre la seule faiblesse du livre c'est son titre.

Formidable ce regard complice et connivent.. Formidable cette invitation dans une époque pas si lointaine ou les cocos n'étaient pas méchants, juste un peu fatiguants. Formidable cette époque trop proche pour faire partie de l'histoire, pas assez éloignée pour être à la mode. formidable d'en rendre compte comme cela , caméra au poing mais dans un récit construit. J'aime beaucoup.

Très amusant. Ce site existe t'il, il a du sens !!!. Ce qui me plait, c'est la petite note morale de la fin, le couple se forme de manière bourgeoise dans un climat de libertinage. Une belle écriture érotique, à la fois sauvage et bourgeoise.

Faire parler un être disparu, c'est le faire vivre à nouveau. Cette convention littéraire donne une "joyeuseté", une existence et une douceur particulière à La femme aimée. C'est un beau livre.

Merveilleuses ces histoires dans l’histoire. Ces sauts du contemporain à l'antiquité, à d'autres époques. Les deux mêlés ou indépendants. Ce collégien qui s'échappe de sa version latine, mais c'est finalement sa version qui prend le pas. Une fantaisie légère mais très écrite comme une Polonaise de Chopin. J'aime vraiment bien.