Je n'en démordrais pas, pas plus que l'auteur en son sens : le code de la route est conçu comme une loi. Sous prétexte de "déplacements", combien de morts peut-on recenser par année ?...
Cela seul devrait suffire à nous faire voir que pour nous rendre d'un point A à B, nous usons d'un outil extrêmement dangereux.
La voiture n'est qu'un alibi, aujourd'hui magnifié, sensualisé, porteur d'une "marque de réussite", voire de pouvoir sur les piétons ou "usagers faibles".
Ridicules une fois pour toutes, ces automobilistes larmoyant sur leur "liberté", qui foncent, encore et toujours, au mépris d'autrui, croyant gagner du temps alors qu'ils n'iront jamais aussi vite que leur stupidité et qui feraient bien de lire Ivan Illich...
Publié le 06 Novembre 2014