Une courte critique de "La Fable des Abeilles, ou Les vices privés font les vertus publiques" de Bernard Mandeville (1705, 1714), en quatrains monorimiques (vers libres).
Pour démontrer que le vice est une merveille,
Le fripon Mandeville utilisa les abeilles !
Cette théorie m’énerve, je la balaye ;
Pour m’expliquer, je fais pareil :
Je vais vous conter l’histoire,
De cette autre ruche notoire,
Qui prit, non sans déboires,
Une toute autre trajectoire.
Ce livre est noté par
@Gaby Chantrie
Je vous remercie Gaby ! Effectivement, Mandeville n'est qu'une des sources d'inspiration de ce texte... :) Et je trouve votre idée très bonne, merci ! Je vais réfléchir à comment plus mettre en avant le contexte derrière ces lignes.
Très amusant, très fin, chapeau l’artiste ! Bien entendu, toute ressemblance avec des personnages ou des faits… (vous devriez en dire un peu plus sur ce qui vous a conduit à publier ce texte si bien calibré, je suis sûr qu’il attirerait plus de curieux !)