Jauris Stellion est le meilleur élément jamais sorti de la célèbre Ecole Farnez de Thalie, entraîné dès son plus jeune âge aux techniques de combat les plus perfectionnées. Erigé au rang de héros vivant pour ses victoires au service de l’Alliance, il est désormais le second du colonel Koran Hultanis, dirigeant de la Garde et membre du Cénacle.
Stationné avec ses hommes sur Palis, une planète stérile, afin de traquer le meurtrier de sa famille assassinée quelques années plus tôt, Jauris Stellion découvre par hasard dans la capitale Timdesh les activités criminelles d’une section clandestine de l’Ordre de Sépha. Interdite et chassée dans toute l’Alliance, la secte organise des sacrifices humains afin d’honorer Sépha, la déesse de la Souffrance.
Ce livre est noté par
@nononono
Je vous remercie pour votre commentaire sur mon livre. Le côté gore n'est pas du tout une fin en soi, mais une volonté délibérée de se confronter à la réalité crue qui est, bien souvent, édulcorée ou même éludée dans la vie réelle. En effet le plus intéressant pour moi en tant qu'auteur est de créer une trame narrative, un univers qui donne vie à des personnages qui se verront pousser à faire des choix, parfois difficiles, pour s'en sortir.
La suite de ce roman, déjà achevée mais pas encore disponible, est de mon point de vue encore plus riche et j'espère qu'elle saura vous divertir en cette période morne et hivernale.
Au plaisir de vous relire.
Une histoire assez originale, une écriture fluide, un style percutant .Le côté descriptif est omniprésent même dans les trop longues scènes de tortures . Le côté " fleur bleu" ne m'a pas spécialement sauté aux yeux par contre celui du gore est bien réel (à mon grand regret) .
@Muller François-Xavier
Merci à vous pour ce commentaire et cette jolie note, en espérant que vous ne serez pas déçu par la suite de l'histoire !
Pour tout vous dire, j'ai écrit ce roman il y a plusieurs années maintenant, et, comme je pense tout de même m'améliorer avec le temps, il peut paraître par moment inégal ou même un peu "fleur bleu", marque de fabrique d'un jeune auteur à ses débuts.
Je me suis lancée dans la publication gratuite sur ce site avant tout pour transformer mes bons moments d'écriture égoïstes en bons moments de lectures à partager avec d'autres personnes, dont les avis sont précieux.
@Gaspard du Gévaudan
Je vous remercie pour votre commentaire.
Effectivement, pour moi le scénario, l'histoire dans son ensemble, est presque plus importante que la forme. J'ai conscience que je n'écris pas des poèmes, encore moins de la haute littérature, et je démarre toujours un roman avec une idée, un petit fil d'histoire, qui se déroule par la suite au grée de l'écriture.
Mes choix de lecture sont analogues à mes choix de films, je préfère cent fois une histoire bien ficelée avec des acteurs peu connus, qu'un blockbuster avec des stars à la pelle, mais dont l'histoire est sacrifiée, voire bancale.
Concernant votre évocation du temps, peut-être confondez-vous le temps de l'histoire (le futur) et le temps du récit (du ou des narrateurs) ? C'est un peu comme si vous me reprochiez d'écouter de la musique pop en écrivant un roman médiéval, pour moi ça n'a pas de sens !
En vrai, j'écris en soirée et souvent en écoutant de la musique de film (Hans Zimmer en particulier) ou électro comme M83 ou Jarre.
Vous dites très bien dans un commentaire comment vous écrivez, "comme une caméra". But…. Un livre n’est pas une caméra. Il faut, je trouve, que vous passiez d’une écriture trop excessivement visuelle, celle d’un scénario, à celle d’un roman. Moins de descriptions, plus de suggestions, d’ambiances, de non dits, laisser votre lecteur deviner un peu, presque finir votre phrase. Et vous poser la question du temps. Pourquoi l’imparfait, le passé, alors que vous vous situez dans le futur ??? Cela dit, vous avez un récit, un univers, et je vous souhaite plein de plaisirs dans votre écriture.
Mise en forme améliorée, de l'air et une meilleure lisibilité pour le confort des lecteurs !
Plus de pages, mais rien n'a bougé.
@LOLODESPRES
Je vous remercie pour ce joli commentaire et suis ravie d'apprendre que cet univers vous a plu !
Je fonctionne un peu comme une caméra quand j'écris : je vois les lieux, les personnages, m'immisce dans leur esprit et retranscris toutes les scènes en mots sur mon clavier.
L'imaginaire est une force puissante car elle n'a aucune limite en dehors de son créateur.