« Mon seul don m'est une charge et mon bon cœur une malédiction » se dit Pascaillotte. Son ouïe exceptionnelle le condamne à tout entendre, à tout savoir. À l'instar de Grenouille du Parfum, il doit survivre d'abord à l'abandon. Ses tribulations à travers Paris en pleine effervescence, font de lui un enfant des rues, un camarade de virées justicières, un extraordinaire « prêteur d'oreille aux chevaux. »
De nos jours Pascaillotte aurait été un geek, un de ces visionnaires, qui, inconfortables dans la réalité, essayent de la changer. Mais à quel prix ? Car finalement, Pascaillotte devra d'abord résoudre l'énigme de sa naissance. Et à celle-là, personne n'est jamais tout à fait prêt.
À ouïe d'oreille, voici l'histoire de Pascaillotte pleine de rebondissements et de scènes drolatiques.
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@LadyAutrice1800
J'ai eu l'idée qui, sans être géniale, permet de "feuilleter" ainsi le livre et de donner un aperçu de son contenu. D'où votre impression "de-ci de-là". Le choix de maintenir Opéra (après tout, on fait référence dès 1793) a été fait dans le but de faciliter la lecture. Merci pour le lien ; la restitution multimédia, projet très évocateur, m'a inspirée pendant l'écriture.
Pas sûre de bien comprendre comment votre texte s'articule, avec ces titres en incises et une narration qui va de ci de là. L'idée de départ est certes très intéressante, mais j'ai eu du mal à vraiment "entendre" ce Paris du XVIIIe siècle (comme par exemple, avec https://www.youtube.com/watch?v=YP__1eHeyo4 ) Et... petite erreur à corriger, à l'époque, pas d' "Opéra de Paris" mais une "Académie royale de Musique" ! A retravailler, me semble-t-il.