Comédie dramatique et satirique
Dans une ambiance XVIIème, romantique et shakespearienne, écrite intégralement en vers, une romance naît entre un homme expérimenté de mauvaises réputations et une jeune fille de bonne famille. Bien que rien ne les prédispose à s’aimer, ils tombent amoureux. Mais la différence d’âge, le passé libertin de monsieur, la famille conservatrice de la demoiselle, la religion, la vengeance, la peur, la justice et… les légions diaboliques qui semblent du plus profond des enfers avoir pris le parti de causer la perte de leur amour. Mise en abîme de la profondeur de l’âme, où chacun affronte ses démons, nos personnages emportés par la tempête des émotions et des manipulations réussiront-ils à s’aimer contre vents et marées ? Et peut-on gagner aux jeux du diable ?
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C’est amusant, certainement à écrire, je suis d’accord avec le commentaire précédent, cela vaudrait le coup que vous vissiez encore quelques boulons, sur des rimes au sens un peu tiré par les cheveux parfois, mais surtout, sur le rythme, la musique. Le style est ? classique (disons !), il devrait alors je trouve respecter les règles de l’époque (je parle là de forme). En tout cas, bravo pour l’essai, une fois encore, c’est amusant, une sorte de dépaysement. Merci pour ce partage.
Bonjour,
J'ai tenté une définition sensible de mon livre.
C'est ce qui me vient quand je relis l'ouvrage.
Ne prétendant pas me conformer à un style particulier, je me suis fait plaisir en écrivant. Le texte est sûrement perfectible. Merci de vos retours.
Sans me, c'est toujours mieux !
Bonne lecture
Si ce pastiche m'intéressait, j'avoue être perplexe devant les premières pages de ce texte à "l'ambiance XVIIème, romantique et shakespearienne" — termes qui me semblent assez antinomiques. Si l'idée est intéressante, elle demande à être encore travaillée et, en outre, à trouver un univers spécifique de référence : XVIIe, époque Romantique ou pseudo-Shakespearien ? Difficile de touiller les trois dans un même texte... (Regardez les soties de Kolokolo, bien plus courtes, j'admets, mais qui se glissent dans un univers de référence.)
Deux remarques : normalement vous n'avez pas besoin de tirets (d'ailleurs, il auraient dû être quadratin) si vous présentez les dialogues comme des répliques de théâtre. Ensuite, "Mais vos mots ne me reflètent, que ce que vous êtes" comportent un "me" en trop.
Bon courage pour les révisions.