Les hypnotiques parfums des Fleurs du Mal ont envouté des générations de romantiques maudits. La beauté irrésistible de ses vers ont donner naissance à un dialogue d’outre-tombe entre le grand maître et une admiratrice inconditionnelle
Merci pour votre commentaire et d'avoir pris le temps de lire mes poèmes.
Libre à l'imagination de divaguer selon son ressenti, c'est un peu le but.
Bien cordialement
@Pierre d'Arlet
Cher Monsieur,
Merci pour votre message, et surtout d'avoir pris ce poème avec humour, ce poème faisait référence à des souvenirs d'analyse de texte en cours de Français, et avec mon esprit d'adolescente, je m'interrogeais si l'auteur en écrivant avait vraiment pensé à toutes ces "dissections".
Bien cordialement
Chère @Laurebadi,
J’ai beaucoup apprécié l’ensemble de vos poèmes. Ils traduisent beaucoup de sensibilité et d’émotions…
Mais le sot que vous décrivez dans « Le Jardin » ne peut s’empêcher d’exprimer un regret. Au diable les règles rigides datant de plusieurs siècles ! Soit ! Adieu rimes, césures, alternances, hiatus et autres instruments de torture, pourquoi pas, nous sommes au XXI è siècle !
Mais vos belles paroles méritent une belle musique : Dans « Le Jardin », par exemple, les trois premiers vers ont (phonétiquement) douze syllabes, et le quatrième, par sa longueur, casse le rythme qui s’était installé, pour reprendre ensuite tant bien que mal avec les suivants. Ce n’est pas une question de règle, juste un désir de la fluidité que mériterait ce beau texte poétique.
(Réflexion d’un sot qui ne sert à rien)
Bien amicalement.
Publié le 08 Septembre 2022
Laurebadi
Biographie
Depuis mon plus jeune age, la poésie a été un moyen d'expression, telle une seconde voix, celle de l'intérieur qui sort du plus profond...
Ce livre est noté par
@gabychantrie
Merci pour votre commentaire et d'avoir pris le temps de lire mes poèmes.
Libre à l'imagination de divaguer selon son ressenti, c'est un peu le but.
Bien cordialement
@Pierre d'Arlet
Cher Monsieur,
Merci pour votre message, et surtout d'avoir pris ce poème avec humour, ce poème faisait référence à des souvenirs d'analyse de texte en cours de Français, et avec mon esprit d'adolescente, je m'interrogeais si l'auteur en écrivant avait vraiment pensé à toutes ces "dissections".
Bien cordialement
De jolis thèmes, plein de sensibilité, de belles ellipses qui laissent deviner…
Chère @Laurebadi,
J’ai beaucoup apprécié l’ensemble de vos poèmes. Ils traduisent beaucoup de sensibilité et d’émotions…
Mais le sot que vous décrivez dans « Le Jardin » ne peut s’empêcher d’exprimer un regret. Au diable les règles rigides datant de plusieurs siècles ! Soit ! Adieu rimes, césures, alternances, hiatus et autres instruments de torture, pourquoi pas, nous sommes au XXI è siècle !
Mais vos belles paroles méritent une belle musique : Dans « Le Jardin », par exemple, les trois premiers vers ont (phonétiquement) douze syllabes, et le quatrième, par sa longueur, casse le rythme qui s’était installé, pour reprendre ensuite tant bien que mal avec les suivants. Ce n’est pas une question de règle, juste un désir de la fluidité que mériterait ce beau texte poétique.
(Réflexion d’un sot qui ne sert à rien)
Bien amicalement.