Élisabeth Pradoura (1951-2020) était mon amie. Elle était psychologue clinicienne, chercheure au CNRS, portraitiste et grande vivante.
Écrire la maladie, son tout dernier ouvrage (auquel elle a rajouté vingt jours avant son décès un court texte déchirant) est un livre de vie, un livre sur sa passion pour la littérature et pour l'écriture. « Écrire sur la maladie relève de cet élan vital qui accroît la langue, expression de la vie, qui repousse les frontières du corps et les échéances. C'est une façon de respirer, de retrouver confiance et peut-être de redonner confiance à quelque autre malade. »
Ce livre est noté par
@Elisabeth PRADOURA j'ai immédiatement rajouté cet oeuvre à ma bibliothèque car je trouve le synopsis de votre ouvrage très percutant et poignant à la fin sur une femme qui tout au long de sa vie passée sur cette terre était passionnée de littérature et d'écriture. j'ai l'intime conviction qu'elle serait fière aujourd'hui de découvrir ce fabuleux récit à son sujet !
Un grand merci à vous Marie Berchoud
@mBS
Merci beaucoup Michèle-Zoé pour votre avis et ce touchant regard porté sur le livre d'Elisabeth Pradoura
@Zoé Florent
@mBS, Oui, la chronique est faite. Un peu longue, mais... il le fallait. S'il n'y a pas les numéros de pages, chacun pourra me les demander. ce livre et rare et tout le mon de devrait le lire. Hé oui, je reconnaît que le mien (roman sur le transgénérationnel en fête) est moins urgent, mais... vital aussi : on n'en finit jamais de se comprendre, soi et les siens, son corps, sa lignée, etc. la vie, quoi. Et elle contient la mort...
Il ne vous reste plus qu'à écrire une chronique pour notre rubrique *Regard sur un livre*, chère @Marie Berchoud.
Mais peut-être est-ce déjà en cours, fait, expédié^^ ? ☺