
Les terres rouges est un roman écologique qui révèle le mal radical, un mal qui peut fatalement germer en chacun de nous, lorsque l'urgence de la survie fait oublier toute morale, tout principe. Il nous annonce une catastrophe irréversible où il est impossible de désigner un responsable, mais où chacun est coupable, par le simple fait d’exister. Il met à nu la complexité de l'âme humaine poussée dans ses retranchements et ses contradictions.
La violence est dépeinte dans une langue poétique et métaphorique, empreinte de rouges, d'ocres, de textures sableuses et rocheuses, d’images animales et de contemplations sublimes.
Ce livre est noté par
Cher @Julien Marsan,
La région décrite est celle de la Tapoa. J'y ai vécu une partie de mon enfance. C'était il y a près de 40 ans. J'entends encore les vieux peuls me dire : le climat change, la nourriture manque, bientôt nous mangerons nos enfants. Ces mots m'ont marqué au fer "rouge".
Merci pour votre bienveillance.
Franck.
C’est évidemment un sujet brûlant, sans jeux de mots, et j’ai eu envie de m’essayer à votre langue métaphorique. Probablement, comme toutes nouvelles expériences, on ne réussit pas forcément la première fois ! La parabole bien sûr est tentante, est-ce que le prof de marketing a choisi cette méthode pour son efficacité à atteindre ses cibles ?
@Florence Sigwalt
Chère Florence,
Je souscris à votre remarque et je reconnais avoir eu du mal à positionner ce roman dans les genres littéraires qui nous sont proposés dans ce site.
Un roman écologique qui pose une question philosophique : jusqu'où peut aller le don de soi ?
@MathildeSalvador
Merci Mathilde pour votre bienveillance !
Franck
Une belle atmosphère, une sublime tragédie. Bravo !