À La Belle Actu à Lyon, Jean-Marie Dufeu, correspondant en région Rhône-Alpes pour le journal de « 13 heures » de TF1, n’a qu’une idée en tête : quitter ses fonctions avant l’âge légal pour profiter du très avantageux plan de départs volontaires mis en place par le Groupe et obtenir de juteuses indemnités. Mais pour toucher le jackpot, il lui faut manœuvrer habilement. Cette ultime péripétie révèle, s’il en était encore besoin, le vrai visage du reporter passé maître en coups fourrés et autres bassesses. Mais Gaëlle Néchard, une quadra arriviste sans aucune morale, veut lui ravir coûte que coûte son titre de Rédacteur en Chef avant qu’il ne puisse passer par la case pactole. Les journalistes qui travaillent à leurs côtés subissent de plein fouet leur lutte fratricide...
Ce livre est noté par
@MICHAEL CLEMENT J'espère vraiment que vous poursuivrez l'écriture d'un second roman ! Je ne doute pas que j'aurai plaisir à le lire. Je compte bien faire partie de vos fidèles lecteurs ;-)
Bonne soirée.
@Julien Marsan Merci pour votre avis et d'avoir pris le temps de lire mon premier roman.
@Ann LIERE Merci pour votre commentaire réjouissant. Il semble que le but que je m'était fixé est atteint : vous faire passer un bon moment avec (un peu) de réflexion sur les sujets qui me tiennent à cœur. Votre retour me conforte dans la volonté de poursuivre mon travail en me plongeant dans l'écriture d'un second livre qui, bien qu'étant situé avant le premier dans la chronologie de l'histoire, vient poursuivre l'aventure du premier. Un paradoxe temporel qui me donne beaucoup de fil à retordre mais qui est aussi passionnant à réaliser. Je ne manquerai pas de vous donner mon avis sur votre roman "Trois" qui attise ma curiosité. Belle journée.
Deux commentaires diamétralement opposés, marrant, ça incite à se faire une opinion. Moi je dirais plutôt, mi private jokes pour initiés, mi reportage pour le 13h. Ça tombe bien, c’est le sujet. Et donc, vraiment fait pour qui a envie de regarder par le trou de la serrure !
@Denise BORDAS Je vous remercie sincèrement pour votre commentaire élogieux sur mon premier roman. Je suis ravi de voir que le livre a eu un impact positif sur vous et qu'il a réussi à vous inspirer et à vous aider à trouver un peu plus de paix et de sérénité dans votre vie.
Vos commentaires sur la clarté de l'écriture et la profondeur de ses concepts sont également très appréciés. Je suis sûr que cela aidera les futurs lecteurs à comprendre l'essence du livre et à en apprécier pleinement la valeur.
Encore une fois, merci d'avoir partagé votre opinion sur "JOURNALISTE(s)". Je suis ravi que vous l'ayez trouvé si utile et inspirant.
@Pelo
Cela fait plus de vingt-cinq ans qu’à l’insu de mon plein gré, je me suis embarqué dans une aventure qui ne m’a pas encore fait toucher terre. Je suis journaliste... La neige en hiver ou la chaleur en été, les départs en vacances avec ses kilomètres de bouchons, les grèves à répétitions qui déclenchent des galères pour des milliers d’usagers, mais aussi la vie dans les villages les plus reculés sont mon pain quotidien... Puisse mon premier roman JOURNALISTE(s) vous choquer, vous mordre et vous interroger. Peut-être aurez-vous le désir de porter une œuvre transgressive et sulfureuse qui ne dit pas ce qui est bien ou ce qui est mal, mais qui supplée au manque d’opinion qui ronge notre époque. Merci pour votre commentaire.
Dieu sait que je n'ai vraiment pas une opinion positive concernant un certain nombre de journalistes en France mais quand même vous êtes parfois caricaturale dans le portrait que vous faites des journalistes dont il est question dans le récit. Les journalistes que vous dépeignez dans votre roman se comportent comme des tyrans avec leurs collègues, ils n'ont pas de compétences, ils sont impitoyables, ce sont des assistés, ils fabriquent du vide, ils font des redites, ils sont impitoyables, ils exploitent leurs subalternes, ils sont cyniques. Rien que cela...Remarque à mon avis pour certain(es) journalistes le portrait que vous brossez n'est pas si lointain de la réalité, malheureusement....au moins dans ce roman, vous n'avez pas la langue dans votre poche, vous ne pratiquez pas la langue de bois, vous êtes cash et parfois dans certains cas, cela fait du bien!