Au bout de la colère

Juillet. Canet-plage. Pyrénées-Orientales. Après la fin de l’université, le retour de la saison estivale pour Frandzie et ses amis. Finis les amphis. Horizon dégagé. Mer bleue, soleil, filles… Jusqu’à ce que le ciel se déchaîne au retour d’une soirée. Confronté à un trio dont la tête pensante manie le nunchaku, il va se réveiller à l’hôpital. Et là, en plus de gérer son amnésie passagère et ses blessures, il devra veiller à tranquilliser son entourage où s’installe l’incompréhension et le désarroi. Qui est cet échappé des films d’actions ? Quel est son lien avec Frandzie ? « Et je m’étais relevé. Parce qu’il fallait toujours se relever ». Un nouvel état d’esprit qui allait le décider à ne plus subir les aléas, à trouver les solutions pour que son été ne se fige pas dans la désillusion.