Ce recueil de poèmes a été écrit dans les larmes, dans la joie et dans l’enivrement de la vie d’un adolescent qui commençait tout simplement à goûter au plaisir de l’amour et à ses chimères, avec un seul souhait, les exprimer au travers de la beauté.
Amours Nébuleuses n’est pas seulement une peinture de l’amour flou et fou, c’est aussi une représentation du temps qui nous tracasse, de la peur des choses qui s’effacent, du bonheur dont on se lasse et de tous les sentiments épars. J’aimerais pouvoir redonner un sens au mot « amour » et « vivre » dans un monde où les messages et les cœurs aux goûts de l’eau s’écrivent désormais sur les réseaux sociaux.
Ce livre est noté par
@Albert H. Laul_2 Merci beaucoup pour votre commentaire enrichissant !
@D-G-M Roualland C’est moi qui vous remercie ! Et je suis très heureux que mes dessins plaisent !
@ Mathéo Monteiro
Vous écrivez au détour d'une balade aurorale et je vous en remercie : "L'amour tue par amertume".
Vous tenez un filon, amer et aigre, acide et âpre, continuez de creuser à l'endroit, à une profondeur aussi légère que nécessaire.
Cordialement
Albert H. Laul
Bien aimé cet "Accorde-moi une part d'amnésie...." Belles illustrations. Merci à vous!
D-G-M Roualland
@Gaby Chantrie Merci pour votre commentaire, cependant, s'attaquer à l'Everest est une expression exagérée, l'amour est LE sujet de chaque histoire et je ne prétends pas lui donner un renouveau face aux mots passés, mais simplement de l'approcher dans un contexte contemporain. Je trouve d'ailleurs que je l'énonce bien dans mon synopsis.
Après, la poésie est subjective et si elle ne vous a pas enchanté plus que cela, je vous invite à patienter un an ou deux pour lire mes prochains écrits dans lesquels ma plume se sera grandement peaufinée et embellie. A condition de ne pas garder pour toujours le même âge que Radiguet.
Vous vous attaquez à l’everest, tout a été tellement dit sur le sujet, à commencer par ses propres atermoiements, qui passent de l’allégresse jubilatoire à la sombritude la plus foncée. Mais c’est vertueux d’essayer, malgré tout ! Mais c’est aussi difficile de surprendre sur un tel sujet, vous limitez vos rimes, vous limitez le rythme, et de facto, la surprise du lecteur, l’étonnement devant un assemblage de mots et d’idées qu’on aurait aimé oser. Reste l’imaginaire, éternel.