Des poèmes en alexandrins pour une histoire gay. Comme le résumé de ce que peuvent être les relations dans le milieu homo.
A ne pas mettre entre toutes les mains. Réservés à un public averti.
Mais il n'y est pas question que de sexe, mais aussi de sentiments amoureux et du regret de leur perte.
Ce livre est noté par
Bel exercice, la poésie arrondit vos mots crus et salés, le contraste est interpellant, on regarde différemment. Bel exercice (bis)
@ T. Guenard
Les mots sont crus, certes, comme l’acte lui-même. Parfois, en tout cas! J’emploie en tous les cas les mots qui sont courants dans le milieu gay. Et encore, ça peut être pire. C’est pour cette raison, pour ne pas être totalement „pornographique“ que j’ai choisi la forme de l’alexandrin… cela redonne aux amours gays toute leur poésie. Je l’espère au moins.
Merci pour votre commentaire… il me laisse entendre que ma tentative n’a pas été vaine
@Ellen Hodges
Merci, Ellen, pour votre commentaire. Je n'oserai jamais me comparer à Genet que j'ai lu. Victor Hugo a lui aussi parfois écrit des alexandrins qui comptent plus de 12 syllabes. Je suis gourmand, certes, mais pas forcément très strict sur le nombre de syllabes. Je compte 6+6 sans tenir compte du e muet à l'hémistiche. Est-ce ce que vous voulez dire?
Merci encore.
@Erectys
Ne vous a-t-on jamais enseigné qu'un alexandrin ne comptait que douze syllabes ? Au-delà, c'est de la gourmandise.
PS : Erectys, un pseudonyme ? Vous faites assurément bien de le préciser.
PPS : Je n'ai évidemment aucun conseil à donner à personne, mais, à l'occasion, jetez un œil au "Condamné à mort" de Genet. Vous verrez que douze syllabes sont bien suffisantes pour chanter les couilles aimées et les chibres insolents...