
Une grand-mère. Des yōkai. Des dieux morts, des renards à neuf queues, des mariages empoisonnés. Et une question qui ne me quitte plus :
"Et si le vrai monstre n’était pas celui qu’on croyait ?"
Ce texte, écrit à l’adolescence, mélange les genres comme on mélange des potions : conte, satire, tragédie, mythe, absurdité.
Martine et les Yōkai n’est pas une simple aventure fantastique : c’est une descente dans l’ombre des légendes, où les héros tuent, où les rois trahissent, et où les dieux eux-mêmes s’inclinent devant une vieille dame.
J’ai besoin de vos yeux, de vos mots, de vos retours. Dites-moi ce que ce texte vous fait. Ce que vous y voyez. Ce qu’il dit du monde — ou de vous.
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