Un ensemble de poèmes qui mêle figures imaginaires et sentiments profonds pour les confronter à l’horloge du temps, réalité cruelle de la vie. L’amour, le bonheur, l’argent, la croyance, apparaissent bien dérisoires sous l’usure toute puissante
des années ; tout comme la vie humaine, si vulnérable qu’elle peut s’anéantir en un instant, dans la violence du monde et de ses guerres innombrables. Les êtres pleins de
souffle et de désir, les matérialistes avides, les tyrans cyniques et les terroristes décérébrés se partagent, la surface de notre
planète
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Ils étaient cent
À se rappeler, cet instant
Où la porte, d’appartement
Fut ouverte violemment
Par des hommes de plomb
Aux coeurs sans fond
Vêtus d’un cuir corbeau
Qui avaient l’allure de robots
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Oui, au pays des rêves...