Géraud a peur. Il vient de commettre un acte horrible, irréfléchi.
Cet après-midi, il vient de mordre le fils de la directrice de l'orphelinat, sans aucune raison apparente. Mais ça n'était pas simplement pour lui faire mal. C'était pour boire son sang. Pourquoi? Il ne se l'explique pas, mais c'était plus fort que lui.
Maintenant, il va devoir affronter le directeur, il le sait. Et la punition que ce dernier lui réserve avec son mystérieux assistant risque de s'avérer mémorable.
Pourtant, dès le lendemain, Géraud aura perdu tout souvenir de sa vie. Il ne lui restera plus que des questions, une chambre isolée dans l'étrange orphelinat où il s'est réveillé, des inconnus qui souhaitent qu'on leur fasse confiance... et une soif, que ni la vérité ni la vengeance ne pourront étancher.
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Merci à vous, CristelD! Je souhaite que vous soyez suffisament "accrochée" pour en poursuivre la lecture jusqu'au bout sans vous en rendre compte. En tout cas, j'ai tout fait pour! Bonne lecture!
Bonjour, j'ai commencé la lecture de votre roman, et j'aime déjà. Vu le nombre de pages, je ne sais pas quand je la finirais, mais dès que cela sera fait, je vous donnerais mes impressions finales, cordialement
Il s'agit du Tome 1 d'une trilogie dont j'ai actuellement rédigé la moitié (la première partie du Tome 2 est déjà écrite).
Vous trouverez un thème musical que j'ai composé pour cette histoire :
https://www.youtube.com/watch?v=NoqT1XsY8eg
N'hésitez pas à me laisser vos questions ou commentaires. Merci à vous!
Pour répondre à une question que l'on me pose parfois, cette histoire s'adresse pour un lectorat dont l'âge commence à l'adolescence, mais également aux jeunes adultes (dont je suis) qui ont pris plaisir à grandir avec des romans comme Harry Potter. Pour le présenter, je présente parfois ce récit comme un "Harry Potter à l'envers", où les jeunes protagonistes sont dans un endroit, l'orphelinat, qui joue le rôle inverse de l'école de Poudlard : on essaye d'y étouffer leurs individualités, ce qui va les amener d'abord à se chercher eux-mêmes et se découvrir sans les adultes, et souvent même contre eux. L'adolescent(e) et l'ancien(ne) adolescent(e) que nous avons été ne peut qu'y trouver un écho.