
Dans un vieux quartier ouvrier de Rouen et en cette fameuse année 54, une lavandière sexagénaire est retrouvée poignardée sur le carrelage à damier de sa cuisine, dans une posture de mise en scène macabre, apparemment basée sur le jeu d’échecs, selon ce qu’il transparaissait de la scène de crime.
Le commissaire divisionnaire Gédéon FLAMBERGE, un tiers anar et deux tiers original, à la cinquantaine frétillante, ayant flairé une affaire aussi peu ordinaire qu’orthodoxe, avait souhaité aussitôt s’en charger personnellement. Extrait 52 pages. Publié papier aux éditions Edilivre, Amazon
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AUTEURS NORMANDS : ROUEN
ROUEN (76) :
Michel BUSSI : Mourir sur seine (Ed. PTC) Se déroule pendant l’Armada 2008 de Rouen.
Jean CALBRIX : Mon cadavre s’enroue à Rouen (Charles Corlet) Nouvelle enquête de l’inspecteur Limard sur la disparition d’un médecin en forêt de Canteleu.
Jean CALBRIX : Crime sordide près de Rouen (Charles Corlet)
Claude CARRON : On a tué la mère Michel. 1954, crime horrible dans un vieux quartier ouvrier de ROUEN. Le commissaire divisionnaire FLAMBERGE enquête (Edilivre)
Gilles DELABIE : Les communiants de Rouen (Ravet-Anceau, Polars en Nord)
Philippe FEENY : Amer café (Krakoen) Roman policier contemporain, se déroule à ROUEN en 1948.
Fabienne FERRERE : un chien du diable (Denoel, 10/18 G. Détectives) Roman policier historique se déroulant en novembre 1594 à ROUEN. Une enquête de Gilles Bayonne.
Rodolphe FONTAINE : Nostalgie, quand tu nous tues (Les 2 encres)
C'est noté Eric, j'arrive. CC
Merci Sophie, c'est gentil d'être passé visiter ma garçonnière. Par mille sabords ! Votre note me fait repenser que j'ai oublié de noter la votre. J'y courre ! CC
Très honoré. Ceci dit, beaucoup de lecteurs non habitués à ce style particulier, semblent avoir peiné pour les 30 premières pages. La suite des aventures du commissaire FLAMBERGE (et un poulet...) sont plus faciles à suivre. Moi je me régale du vôtre (tome 1)
Bonjour Claude,
En principe pas très "polar" j'ai accroché illico à l'histoire de la mère Michel... Du plaisir en perspective ! Aboule... Direction ma bibliothèque, tant pis pour mon prochain livre en cours, je vais sacrifier un peu de temps à te lire...
Ok Thierry et Muriel, et merci de ne pas trop flasher sur les fautes d'inattention liées à une erreur de copie. Je termine celui de Muriel pour le noter et je vais aller voir vos œuvres Thierry. CC
ça y est, je viens de commencer votre livre et j'adoorrreeeeeeeeeeeee, on accroche tout de suite à l'histoire et franchement j'ai hâte de continuer de le lire. Je vous emmène dans ma bibliothèque.
Pas de problème, contactez-moi sur l'adresse que j'ai laissé et je vous envoie çà. CC
Bravo, on approche des 2000 lectures, pas mal. J'aimerai bien recevoir cette suite aussi, svp.
Merci de votre intérêt Michel (Des lecteurs m'ont reproché un début laborieux sur ce roman, vous avez donc franchi les quarantièmes rugissants) et je termine actuellement la suite: "Et un poulet rouennais, un !" où FLAMBERGE se met en quatre pour trouver celui qui a osé occire son meilleur vieux copain, Dédé la Science. Bonne lecture. CC
C'est noté Hubert et merci d'avance. Je te contacte sans tarder. CC
Bonjour, merci pour votre message : je ne suis pas très policier non plus, mais la façon dont vous maniez la langue m'a interpellé lorsque j'ai été voir les premières pages. Je vous dirais à mon tour ce que j'en pense lorsque j'aurais fini. Cordialement
Alors là cher Hubert, je suis flatté de la bienveillance avec laquelle vous dressez le panégyrique de mon œuvrette. Des mots choisis et qui plus est, d'époque. Un véritable bonheur que cette "réclame" digne du feuilleton radiophonique de la "MALONGO" ayant bercé les années d'après guerre du père LAPANOUILLE avec "la pastrouil de tante Victorine", si célèbre du côté de Nice. De mon côté, je dévore votre MACHIAVEL 3.0 et j'espère pouvoir au moins vous arriver à la cheville pour en dire tout le bien que j'en pense. Encore merci (de ne pas avoir relevé mes fautes d'orthographe et de syntaxe, dues à une erreur de copie) et bravo Hubert. CC
Oui, c'est noté sur mon bureau, pas de problème.
N'oubliez surtout pas qu'on se voit jeudi 5/12 dans mon antre, avec la version corrigée. A bientôt.
Çà pour le coup, la dame Josette semble plus prolixe dans ses interventions sur les autres romans que sur ces propres "œuvres" ne comptant que trois lignes. Il y a aurait donc aussi des trolls dans ce genre de sites...
Chère Josette BRUGNON, dont le nom fleure bon le pseudo de pêcheur à prunes et le prénom vieillot accentue encore le côté mémère pour donner un ensemble suffisamment baroque pouvant finir un jour dans une de mes propres étrangetés littéraires, oserai-je vous dire que votre poème m’a littéralement flingué le thermostat et fusillé le dernier neurone qui me restait encore de valable? Parvenir ainsi en première page en seulement un mois avec un « poème » rédigé en forme de slogan et plus succinct encore que votre divertissante bio et même que son fumeux résumé, c’est tout bonnement bouleversifiant. Allez, j’ose chère Josette au teint de pêche flétrie, dont le physique ingrat rappelle étrangement que cette image de votre avatar a été découpée dans l’un des tout premiers catalogues de la redoute, dont Lucienne BLANDA fut longtemps le mannequin vedette, pour être abonnée à la page des gaines corsets et des soutiens gorge à double corniche et à baleines renforcées durant 25 ans. Rassurez au passage votre petite nièce, puisque cette expression figée sur ma photo n’est pas vraiment liée à un problème perpétuel de gobage de mouche, mais simplement due au fait que j’étais en exercice de parler bourré quand mon espiègle frangin à appuyé sur le bouton. Constatant que j’avais l’air plus spontané que d’habitude, j’ai donc décidé de mettre celle-là et, çà, sans les mouches… Votre court poème me rappelle un ami belge qui achetait régulièrement des chaussures très cher, pour n’en garder finalement que les cartons qu’il se mettait aux pieds pour les trouver plus remarquables et là, je ne sais vraiment pas pourquoi. Je mets cinq sur votre oeuvre confetti pour ce super clin d’œil.
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