Voyage Après La Nuit

100 pages
Feuilleton
de Louis Ferdinand Dostoievski
Voyage Après La Nuit Louis Ferdinand Dostoievski
Synopsis

L'écrivain Louis-Ferdinand Céline se réveille après sa mort dans un monde étrange et part à son exploration dans une quête mystique sur fond de seconde guerre mondiale et de SF. Les influences en dehors de Céline sont assez variées http://voyageapreslanuit.blogspot.fr/.

Publié le 30 Avril 2013

Les statistiques du livre

  2132 Classement
  34 Lectures 30 jours
  5431 Lectures totales
  -185 Progression
  0 Téléchargement
  6 Bibliothèque
 

Ce livre est noté par

7 commentaires , 1 notes
Pour répondre à un membre, précédez d'un @ son nom d'utilisateur , et il sera prévenu de votre réponse !

Merci Marius, c'est sympathique, ça fait plaisir quand des gens ont pris plaisir à lire. Ca me donne envie de retravailler le texte pour l'améliorer et de le continuer. Je suis d'accord aussi sur le fait que l'idée est meilleure que le style (les premières pages sont plus réussies au niveau du style parce que retravaillées et après il faudrait que je retravaille) mais j'apprécie quant même l'encouragement pour le style parce que tenter d'imiter Céline avec sa langue orale, c'est à mon avis ce qu'il y a de plus difficile. Je me  rends bien compte des nombreux défauts et je sais que je n'arrive ni à la cheville ni même au doigt de pied de Céline, pas même le petit doigt de pied mais parfois il y a des gens qui ne connaissent pas très bien et pensent que faire du Proust par exemple c'est plus difficile alors que le consensus chez les écrivains est plutôt de dire que le style parlé est très dur (pour moi en français c'est rabelais - villon - céline - audiard et récemment j'ai trouvé des réussites dans le livre de mc jean gab'1 alors que le rap m'ennuie depuis au moins 10 ans mais il a une bonne plume) et que ça peut vite sonner faux. Il y a des registres comme ça qui sont difficiles. Il n'y a que le lyrisme qui me semble plus difficile que le style oral et ça peut vite déraper dans le mièvre et le pathétique s'il n'y a pas un bon dosage de retenue, d'humour et de pudeur. C'est comme skier sur du verglas, on dérape vite et dans ce registre c'est ce qui m'est arrivé plusieurs fois dans ce texte. Il faudrait que je retravaille pour trouver le bon dosage, le bon équilibre. Bref, je ne vais pas écrire une thèse sur le style mais merci encore, ton encouragement me motive à bosser à nouveau sur le texte dès que j'aurai le temps.

Publié le 25 Novembre 2013
3
Up up, pour le style: 68% l'idee: 95%, ma copine et moit'avons notez: 75% , 70. courage
Publié le 25 Novembre 2013

Merci Thierry,

c'est sympathique, même si je ne sais pas si c'est un bel ouvrage, c'est surtout une tentative que j'ai expliquée plus bas . Je pense que ce qui importe, c'est d'être en contact avec des gens qui ont les mêmes références et les mêmes goûts. C'est pour ça que j'insiste sur mes références. Par exemple, j'ai lu un commentaire d'une personne conseillant de lire Sagan et Duras. Donc il est probable que les livres de cette personne ne vont pas m'intéresser et vice-versa. En fait il faudrait faire des réseaux à l'intérieur du site avec les gens qui s'intéressent à la même littérature.

Publié le 15 Novembre 2013
Merci Christian. On a une discussion croisée sur nos deux pages. Je vais lire ces références que tu as liste dans tes réponses puisque cela m'intéresse. Je suis heureux que la lecture de mon texte te plaise. Tu peux lire les quelques commentaires que j'ai laisse en dessous de celui-ci sur ma page pour essayer de comprendre ce que j'ai voulu écrire. C'est toujours difficile de donner des conseils parce qu'on est tous susceptibles mais tout texte peut être améliore donc si tu as des conseils pour améliorer le mien, n'hésite pas. Je lirai le tien aussi dans les semaines qui viennent. En se donnant tous des conseils positifs et constructifs, on peut essayer de tous progresser ensemble et surtout de s'amuser et de s'enrichir mutuellement en même temps.
Publié le 07 Juillet 2013
Salut! Louis, j'ai bien recu ton message sur mon espace auteur et je tiens a te remercier pour cet interet general que tu portes envers la litterature de l'imaginaire, j'ai glisse specialement pour toi sur mon espace auteur toute les requettes que tu m'as demande, tu trouvera aussi tout ce dont tu auras besoin pour tes recherches. Concernant ton oeuvre, je suis en plein lecture de celui-ci et je tiens ouvertement a t'avoue que les premieres pages que j'ai parcouru m'ont fortement intrigue que ca succite un interet tres pertinent a sa lecture, car c'est un style que je trouve tres appreciable pour ma part je l'ai place dans ma biblioteque pour ma collection personnelle... Je t'informerai de mon avis quand j'en aurai fini avec la lecture. Encore une fois, je te remerci d'avoir pris contacte avec moi via mon espace auteur. Au plaisir de nous relire...
Publié le 07 Juillet 2013
En relisant ma réponse je m'aperçois d'une erreur: la thèse de Ellul est 'la politique dépend de l'économie qui dépend de la technique'. Bien sur, sa thèse est plus complexe et mieux formulée mais la je me contente de répondre rapidement sur un iPad. A noter que j'ai oublie de mentionner que j'ai essaye de creer une tension dans ce texte entre la raison et la foi (athènes et Jérusalem pour reprendre le titre de Chestov) et que le personnage principal est un mystique idealiste ( au sens courant et philosophique) athée tente par la foi. Les thèmes de la servitude volontaire et de la propagande occupent aussi des places importantes avec l'apparition de personnages contemporains comme Etienne Chouard dans le récit. Comme j'ai pris le postulat que le monde entier ressuscite dans ce nouveau monde, cela permet comme Phillip Jose Farmer avec 'le monde du fleuve' dans la litterature populaire ou comme Chestov chez les intellectuels de faire dialoguer ces personnages avec pour modèle des dialogues platoniciens mais dans une quête qui a pour modèle aussi bien la quête du graal que la tour sombre ou le seigneur des anneaux car j'aime autant les classiques de la litterature et de la philosophie que la litterature dite populaire et souvent peu connue et sous-estimée, surtout en France (alors qu'aux USA la majorité des grands auteurs empruntent a tous les genres depuis Edgar Poe qui les a en partie crées).
Publié le 18 Mai 2013
Merci pour le message sympathique. Pour être honnête, c'est un texte (ma première tentative d'écriture) assez brouillon avec pas mal de passages que je changerai aujourd'hui (dérapage lyrique mielleux, ressentiment,...). J'ai aussi tente d'imiter le style de Celine qui est très difficile a tenir. Par contre, j'ai lu énormément et je pense que le texte peut avoir quelques qualités parce que j'ai une assez bonne culture. Au final, il ne faut pas hésiter a zappeur certains passages. La seconde partie que j'ai commence en alternant avec un autre narrateur me semble meilleure dans une écriture plus épurée et classique ( je reviendrai a Celine mais c'est difficile). A mon avis, il est important que je précise ce que j'ai essaye de faire: - la philosophie du texte est celle de Schopenhauer que j'essaie d'actualiser en la confrontant aux recherches scientifiques et philosophiques récentes. - l'histoire est celle d'une quête sur fond de la mythologie de la résistance et de la France (secondairement de la Bretagne) avec les principaux auteurs de langue française qui m'ont influence. - la recherche stylistique tourne autour du style, de l'imaginaire et de l'esthétique des principaux auteurs du livre (Celine, chateaubriand, ballard,...) que je ressuscite comme personnages et qui sont des entrainements a l'écriture puisqu'en leur donnant la parole, j'essaie d'imiter leurs styles. - les réflexions tentent d'emprunter aux principaux philosophes et scientifiques mais se focalisent sur les deux thématiques du personnage de l'écrivain Phillip K. Dick qui sont la nature de la réalité et la nature de l'être humain. Je mets en avant une correspondance entre les deux en soulignant la place de la créativité qui provient de l'imagination (dialectique monde idéal et monde réel) et donc de la sensibilité ( schopenhauer, Koestler). J'oppose la créativité au règne de la technique (Anders, heidegger, dantec,Ellul,...). - l'aspect politique rejoint l'aspect technique en prenant la thèse de Ellul ( la politique dépend de l'homme qui dépend de l'économie qui dépend de la technique). L'homme est alors asservi au règne de la machine par la sacralisation de la technique, du chiffre, de l'argent au détriment de sa vie intérieure. Cette guerre contre la machine est symbolisée par une guerre qui ne s'est jamais arrêtée contre le nazisme en prenant pour postulat que les nazis ont perdu la guerre mais gagne la paix via l'ONU et le projet mondialiste. - Comme je pense que tout bon livre doit 'être écrit avec le sang', il ne s'agit pas du livre d'un homme qui a une vérité a communiquer mais la quête des personnages dans le livre correspond a la quête de l'auteur. Il s'agit aussi d'un livre global dans le sens ou je n'ai pas l'intention d'ecrire 36 livres dans ma vie, n'ayant pas tant que ça de chose a dire, mais de tenter d'ecrire celui-ci petit a petit en corrigeant les très nombreuses maladresses. Pour être honnête, je n'ai quasiment pas relu ce texte et je souhaite avant tout atteindre un certain nombre de pages parce que sinon la relecture risque de me décourager et de m'empêcher de terminer. J'ai mis ce texte en ligne parce que je pense qu'il a du potentiel et que je voulais avoir des conseils constructifs pour tenter de l'améliorer mais il y a des passages vraiment rates. Mais bon, ce qui importe ce sont les bons passages parce que même les meilleurs comme dostoievski ou Celine ratent de nombreux passages a mon avis. Bref, si vous avez des conseils pour améliorer le texte ou des conseils de lecture constructifs ( je suis malheureusement très conscient des faiblesses), n'hésitez pas. - les réflexions
Publié le 18 Mai 2013
Je viens de survoler votre ouvrage en parcourant quelques pages au hasard. Il m'intéresse et je pense le lire bientôt. Le texte,un peu difficile au premier abord,semble révéler l'expression d'une réelle lucidité. Donc à voir.
Publié le 18 Mai 2013