1903

Des mots m’ont ébranlé.
D’autres m’ont soigné.
Alors, j’ai voulu leur rendre hommage à travers leur maniement. J’ai pris la plume avec la prétention de croire que les mots, ceux que je portais dans ma tête et dans mon cœur, méritaient d’exister, et avec l’humilité de me présenter face à l’écriture, parfois cajoleuse, parfois inflexible.
Pour la première fois, les mots que renferme ce roman quittent le tiroir dans lequel ils dormaient jusqu’alors pour les exposer à la lumière. À vos lumières.