Vous méritez les 5 étoiles. Une façon originale d'expliquer les coïncidences et les hasards de la vie... Histoire intrigante, prenante, obsédante... Personnages attachants. Bon, c'est un peu la "super" héroïne mais je l'aime bien, c'est notre idéal féminin. Inutile d'en rajouter, les autres ont tout dit. De bons rebondissements. Bref j'aime tout. Merci pour cette passionnante lecture.

Richard, J'ai terminé ton livre. Mon avis en toute sincérité : excellent surtout sur la deuxième partie. Hubert a raison, il reste des coquilles mais c'est mineur, faciles à corriger. Le littéraire dans la narration ne me dérange pas mais me heurte dans les dialogues, surtout dans la bouche d'Erica (même si c'est une prof de français). Je la vois mal parler un langage châtié dans la vie courante. D'ailleurs, je remarque que son langage évolue. Elle est plus "accessible" dans la 2e partie du roman. Le début souffre d'une certaine langueur mais est vite rattrapée par l'intensité du récit lorsqu'Erica arrive sur l'île. Bon, ça ce sont des remarques pour améliorer, il en faut bien... Mon ressenti féminin ? Il faut avoir le coeur accroché pour certaines descriptions (chirurgicales notamment), et j'applaudis la précision et la concision de l'écriture. En conclusion, très très bien mené. La tension et l'intrigue sont à leur comble quand on arrive aux vingt dernières pages. Les annexes de fin sont très originales et donnent une autre lumière sur le roman. J'ai bien apprécié. Bref, que des éloges... J'ai eu du mal au début mais j'ai dévoré la fin. Bravo... Ah oui... Parce qu'il faut une note... Je te mets 4,8 / 5 !!

En lisant votre nouvelle, j'ai oscillé entre deux hypothèses, le visionnaire ou le retour vers le passé. Pas mal, cela donne envie de parcourir les autres écrits. Bravo pour avoir décrit si bien les années 1900, ce n'est pas facile. Bonne continuation.

Moi aussi j'ai beaucoup apprécié cette lecture, cette semi-fiction et ce basculement dans la folie.

Vous savez y faire, on a envie de dévorer la suite, mais les 336 pages me font un peu peur, j'avoue...