L’auteur fait savoir dans son œuvre que le mariage est le cadre idéal de la protection du ménage. Étant donné que cette union est encouragée et sécurisée, il ne faut pas compliquer sa création en mystifiant une de ses conditions, à savoir : la dot, qui semble devenir non seulement un luxe, mais aussi une composition fruit de l’émigration culturelle. Il est impossible pour la culture congolaise de pouvoir s’en débarrasser, mais il faut prévoir les garde-fous contre les éventuelles mutations socioculturelles et songer à d’autres mécanismes pour faciliter le mariage.
Ce livre est noté par
N’étant ni avocat ni congolais, votre essai ne me concerne pas vraiment. Pourtant, je ne sais par quelle curiosité, j’ai ouvert votre livre et ai lu un temps que les moins de vingt ans ici ne peuvent plus connaître. J’espère que le partage de votre travail trouvera des échos.