Une nuit d’été, un dîner qui se termine… Simon fête son installation dans la propriété de ses grands-parents. Il y a passé ses plus belles vacances lorsqu’il était adolescent. Une rencontre fortuite avec Angeline à la sortie du restaurant et ce sont deux destins qui s’en trouvent bouleversés. Lors du décès de sa mère, une religieuse ayant renoncé à ses vœux pour la voir grandir, cette jeune femme de 18 ans à peine va récupérer des documents qui révéleront, en partie seulement, un lourd et épouvantable secret familial. Pas à pas, elle va reconstituer ce passé tumultueux où les événements dramatiques côtoient l’inimaginable.
Ce livre est noté par
Bonne histoire,intérêt soutenue. j'ai aimé
MERCI POUR CE BEAU VOYAGE QUE VOUS VENEZ DE M'OFFRIR GRATIEUSEMENT !!!! JE SUIS DANS LA JOIE !!!
LE RECIT EST TRÈS BIEN AGENCÉ. ON A L'IMPRESSION DE SUIVRE UN FILM. UNE FOIS L'ENTAME DES PREMIÈRES PAGES DE L'HISTOIRE; ON NE LAISSERA LE ROMAN QU'AU POINT FINAL. QUE DE BELLES SENSATIONS RESSENTIES !!!
QUAND BIEN MÊME QU'ON AIT LAISSE LE CHEF D'OEUVRE DURANT UN BON BOUT DE TEMPS; A LA REPRISE, ON A L'IMPRESSION DE L'AVOIR QUITTE LA VEILLE. LA TRAME DE L'HISTOIRE RESTE GRAVE DANS LA MEMOIRE.
AVANT MON DÉPART POUR UN PETIT SÉJOUR AU VILLAGE, L'ECRAN DE MON ORDI M'AVAIT LÂCHÉ. J'AI CHÔMÉ PENDANT UN TEMPS. A MON RETOUR ET APRES RÉPARATION DE MON ORDI, L’APPÉTIT ÉTAIT TEL QUE J'AI DÉVORÉ GOULÛMENT VOTRE GALETTE LITTÉRAIRE.
JE SUIS DANS LA JOIE D’ÊTRE ARRIVÉ AU POINT FINAL.
MERCI INFINIMENT C. MEYER , POUR L'INSPIRATION !!!!! (JE VALIDE !!! )
BONNE CONTINUATION !!!!!
@Kelly C
Merci d’avoir noté et commenté mon livre. J’entends bien vos remarques, toutefois, je me pose quelques questions quant aux côtés « surréaliste et bizarre » de la rencontre entre les deux personnages principaux et au « bon samaritain » auquel vous ne croyez pas… Tous les récits doivent-ils être « noirs » et baigner dans la violence, la drogue, l’alcool et la prostitution pour être « crédibles » ? D’après vous, le « mec » ne peut être qu’un pervers pour venir en aide à une paumée. Le « bon samaritain » n’est forcément qu’un menteur dont les intentions sont tout sauf louables. Quelle triste façon de voir les choses. Au-delà du fait qu’il est évident que nous ne vivons pas dans un monde de « bisounours », il est inquiétant de constater que l’amitié et que le simple fait de vouloir réparer une injustice de la vie (et d’en avoir les moyens) ou d’éprouver un sentiment de protection (comme celui d’un père envers sa fille) sont à ranger dans la catégorie « perversité des sentiments ». J’accepte totalement votre avis pertinent sur mon livre, je suis juste étonné de la vision de la vie qui est la vôtre et, je l’avoue, qui me touche par son côté sombre. Des « bons samaritains » il en existe, croyez-moi, (moins que de paumés, assurément) mais à force de donner du crédit à la méfiance et au pessimisme, il est certain que jamais vous ne les rencontrerez