Non seulement Ourbé & Éterna de Filippo Fuchs a remis le feuilleton au devant de la scène, mais Filippo Fuchs a tenu bon, semaines après semaines, pages après pages. Son feuilleton a atteint son apogée il y a quelques jours, et vous pouvez maintenant le lire dans son entièreté. Shimon Peres a dit un jour « Si tu as plus de rêves à venir que de succès passés, alors tu as gardé ton âme d’enfant. » Rêvons donc avec le Fox…
En proie à l'attaque de dragons, de vouivres ou de vampires, les habitants d’Ourbé doivent chercher secours dans notre monde… Virgile, jeune châtelain ruiné, fait leur rencontre et l’emmènent dans le leur.
Filippo Fuchs aime Trenet. Et le Cognac ! Nous aussi !
Et il a gardé son âme d’enfant !
Je m’impatientais de lire votre «private joke », mais Dieu seul sait si je m’attendais à celle que je viens de lire. C’est moi, Philippe, qui vous remercie infiniment pour ces 27 samedis après-midi passés à rire, à m’évader, à redevenir une gamine, à apprécier et partager votre philosophie, à découvrir un Écrivain. Bref, à kiffer grave votre conte ou sotie qui, je l’espère de tout mon cœur, ne restera pas invisible dans votre bibliothèque. L’an 1 débute sous les meilleurs auspices maintenant que la boite de l’amour est pressée et compressée afin qu’il ne s’évade plus. Très cordialement.
C’est pour ce partage, ces échanges, vos avis, vos suggestions, vos critiques… que Filippo Fuchs publie gratuitement ses romans et ses contes fantastiques sur monBestSeller.
Je me suis laissé emporter… mener à Ourbé, de l'autre côté du tunnel. Je ne vais pas revenir sur mes commentaires, mais je pense que le dernier de Gaspard du Gévaudan simple, concis résume à lui tout seul l’Écrivain que j’ai découvert dès les premières lignes de la sottie Ourbé et Éterna de Filippo Fuchs. Puis, transportée par ma lecture, j’étais impatiente de lire les nouveaux épisodes que Filippo postait chaque samedi. Moi, l’écrivante, j’ai pris une sacrée belle leçon d’écriture tant dans le fond que dans la forme (typographie parfaite et en 561 pages je n’ai relevé que deux petites étourderies). Je suis admirative de sa persévérance tout au long de plus de cinq mois d’écriture (27 épisodes, quand même !) en totale improvisation - souvent inspiré par l’actualité du moment. Je n’ose imaginer ses doutes ainsi que son travail, mais est-ce un travail quand on sent tout le plaisir qu’il a eu à écrire son conte philosophique, mais pas que ? Plus d’une fois j’ai essuyé mes larmes de rire ! Lui, qui se dit procrastinateur, a plus que parfaitement relevé le défi qu’il s’était lancé, à savoir remettre au goût du jour le genre feuilleton comme le faisaient Balzac, Dumas père et tant d’autres, ses maîtres. Je suis ravie de cette belle découverte et, surtout, de nos échanges très fructueux sur notre passion commune des mots et de la littérature. BRAVO, Monsieur et un grand merci à vous pour ces petits délices hebdomadaires ! Et, bien évidemment, j’attends avec impatience, une fois encore !!!, de poser votre ouvrage sur les rayonnages de ma bibliothèque ; je n’en doute pas une seule seconde. Très cordialement. Patricia-Fanny