Ma chère Catarina Viti.
Permettez-moi de vous répondre sous un autre pseudo car j'ai égaré mon dernier mot de passe. Je suis Conrad Smith, l'auteur de "Babacar et moi", que vous avez proprement incendié dans votre commentaire du 29/01/2023. Je n'ai pas du tout la prétention d'être un auteur de votre niveau qui, selon votre œuvre littéraire, se trouve très largement au dessus du mien. Mais seulement, une chose. Qu'êtes-vous donc venue chercher dans cette catégorie de livres où l'on ne se soucie généralement, que très peu du style ? Lorsque l'on réside à Manhattan, on évite de s'aventurer dans le Bronx... Ou alors il faut s'attendre à être déçu...
Mon pauvre Conrad Smith.
Pas de chance, j'ouvre rarement les "roses", car ils sont généralement déprimants (et vous pouvez me croire, des textes érotiques corsés, j'en ai lu avant que vous ne naissiez). Eh bien, j'ignorais que les "roses" pouvaient aussi être vomitoires.
Et ce n'est qu'un extrait ? Mais vous savez, à ce niveau là, une seule phrase suffit.
"je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi on utilise ce terme de “sortir avec quelqu’un” ", je vous cite. Eh bien moi, je n'arrive toujours pas à comprendre comment on peut dire "black" pour noir. Et, dans la foulée, sortir tout ce que vous sortez de stéréotypes racistes et, disons-le dégueulasses. Je n'ai lu que trois pages. J'ai hésité avant de vous laisser ce message. Et puis, j'y suis allée : ce site n'est pas une poubelle. Oui, nous sommes ouverts à tous les styles, à tous les talents, même menus, et des pages "osées", qualifiées par certain(e)s de pornographiques, nous en avons eues, mais à une différence près : elles étaient ECRITES. Alors que là, ce que vous nous proposez c'est de la "littérature pour sex-shop de troisième classe", de la "littérature de latrines" et encore je mesure mon propos.
Bon, voilà, vous connaissez mon appréciation.
Désolée.
Publié le 29 Janvier 2023
Conrad SMITH
Biographie
UNE ENVIE DE REECRIRE SUR LE MEME THEME, MAIS CETTE FOIS AVEC UNE...
Ce livre est noté par
Ma chère Catarina Viti.
Permettez-moi de vous répondre sous un autre pseudo car j'ai égaré mon dernier mot de passe. Je suis Conrad Smith, l'auteur de "Babacar et moi", que vous avez proprement incendié dans votre commentaire du 29/01/2023. Je n'ai pas du tout la prétention d'être un auteur de votre niveau qui, selon votre œuvre littéraire, se trouve très largement au dessus du mien. Mais seulement, une chose. Qu'êtes-vous donc venue chercher dans cette catégorie de livres où l'on ne se soucie généralement, que très peu du style ? Lorsque l'on réside à Manhattan, on évite de s'aventurer dans le Bronx... Ou alors il faut s'attendre à être déçu...
Mon pauvre Conrad Smith.
Pas de chance, j'ouvre rarement les "roses", car ils sont généralement déprimants (et vous pouvez me croire, des textes érotiques corsés, j'en ai lu avant que vous ne naissiez). Eh bien, j'ignorais que les "roses" pouvaient aussi être vomitoires.
Et ce n'est qu'un extrait ? Mais vous savez, à ce niveau là, une seule phrase suffit.
"je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi on utilise ce terme de “sortir avec quelqu’un” ", je vous cite. Eh bien moi, je n'arrive toujours pas à comprendre comment on peut dire "black" pour noir. Et, dans la foulée, sortir tout ce que vous sortez de stéréotypes racistes et, disons-le dégueulasses. Je n'ai lu que trois pages. J'ai hésité avant de vous laisser ce message. Et puis, j'y suis allée : ce site n'est pas une poubelle. Oui, nous sommes ouverts à tous les styles, à tous les talents, même menus, et des pages "osées", qualifiées par certain(e)s de pornographiques, nous en avons eues, mais à une différence près : elles étaient ECRITES. Alors que là, ce que vous nous proposez c'est de la "littérature pour sex-shop de troisième classe", de la "littérature de latrines" et encore je mesure mon propos.
Bon, voilà, vous connaissez mon appréciation.
Désolée.