Catarina Viti

Biographie

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Les textes que je soutiens actuellement en tant que membre mCL :
*** "Retour à Ithaque" Bruno Bonheur
*** "Gabriel est parti" de Gabriel Monestier
*** "Cité Balzac" de Maxime K-D,
*** "Elle, lui et la mer" de Hélène Appert

Catarina Viti a noté ces livres

3
J’ai lu une demi-douzaine de vos textes. Partante pour lire la totale ! C’est du brut, et même, allez, je pense qu’on peut qualifier votre écriture d’art brut. Il y a dans vos lignes, une liberté, un vent de folie douce, toute la fragilité de l’humain, une énorme générosité (vous écrivez pourtant sur vous-même, sur votre quotidien, sur la vie à travers votre lorgnette... eh bien, malgré cela, il n’y a pas d’égocentrisme, il y a l’inverse : quelque chose de doux, d’animal, même dans vos moments de sauvagerie, comme si, parfois, vous vous étiez guéri de l’humain). Bref, je cause, je cause... 3 corazones pour encourager les passants à s'arrêter devant vos textes.
Publié le 03 Mai 2025
3
Chère Josiane, et dire que j’ai failli passer à côté de votre livre. Commençons par évacuer les deux écueils qui ont failli, telles des Charybde et Scylla de carton-pâte, me faire manquer l’embouchure vers ce petit joyau. Le titre en premier. Et vous n’y êtes pour rien ! J’ai fort bien (et grand mal m’en a pris) connu quelqu’un qui disait cela, à l’envi, « Le roi n’est pas mon cousin », et dans des situations absurdes. En deux : la catégorie « Témoignages ». Alors, là, un twist fatal a fait dérailler ma pauvre cervelle. Que s’est-il passé ensuite ? Un blanc. Le blanc du satori silencieux, il faut croire. J’ai pris un plaisir indicible à lire vos textes. Votre écriture est d’une maturité rare sur un site comme le nôtre. Sans effet de manche, vous répondez à une ambition littéraire réelle. Votre œuvre interroge le réel non pour s’en plaindre, mais pour l’habiter plus intensément. Le non-dit, le ton d’une parole, un détail du langage prennent sous votre plume des proportions existentielles. Vous nous entraînez dans le ténu, l’ambiguïté ; vous faites parler les interstices, les blancs, les glissements, vous réussissez à rendre le quotidien mystérieux, presque métaphysique. À tout cela vous ajoutez une auto-ironie, un ton libre, charnel, tout en maintenant un engagement affectif et politique discret, mais constant. Je n’ai pas peur de le dire : votre texte est rare. Mille mercis d’avoir investi quelques € dans une mise en avant. J’aurais été tellement déçue de passer à côté d’un si bel ouvrage. Un immense merci. Et bonne chance à votre texte que d’ores et déjà je porterai autant que cela m’est possible. Trois coeurs pour recommander la lecture. PS : chère autrice, il "faut" répondre à vos commentateurs, ne serait-ce que pour leur dire ///(ce que vous voulez)
Publié le 26 Avril 2025
3
Il y a une différence abyssale entre raconter et se raconter. Se raconter est facile, à la portée de tout écrivain : il suffit d’installer la mémoire aux commandes. Elle ne demande que ça, d’ailleurs, la mémoire. Son dessein n’est-il pas de devenir le pilote de nos existences ? Pour se défaire de cette emprise, l’écrivain n’a d’autre choix que tailler, ciseler, polir sa pierre, non pour la rendre plus belle, mais pour lui ménager une place (sa place) dans l’édifice de la littérature. Et je crois que Bruno Bonheur a accompli ce dur labeur avec « Retour à Ithaque ». En tout cas, c’est la raison pour laquelle je crois en ce texte. Ce ne sont plus les confessions de Rachid Blanchet que nous lisons, mais l’épopée d’un homme qui pourrait être Rachid Blanchet. « On a tous en nous quelque chose de Rachid » pourrait chanter le chœur des Hommes. On commence par se croire un dieu avant de réaliser qu’on est en haute mer, en pleine tempête, et qu’il n’y a aucun vent favorable. On vit, coquille de noix, dans le grand tourment, puis un jour, par on ne sait quelle Chance, la tempête se calme et apparaît une terre. Il faut alors choisir de laisser à la mer ses chimères et de s’emparer — quel que soit le prix à payer — de cette île... et la nommer Ithaque.
Publié le 24 Avril 2025
1.02
Bonjour Mael, J’ai été voir votre profil, ce serait, je pense, un plus de vous présenter mieux dans votre bio, et de mettre une photo de vous. Nous voyons passer tant d’olibrius racontant des fadaises que cela finit par devenir un handicap pour les textes. Or, vous êtes véritablement porteur d’une passion. Cela se fête ! Votre texte est touchant. Ou disons plus justement : votre texte m’a touchée par sa façon d’évoquer les dieux. Je me trompe peut-être, mais il me semble que vous entretenez avec eux une relation. Vous me direz, à l’occasion ! *****(Trois cœurs pour encourager la communauté à découvrir votre texte et surtout à vous en parler.) Vu qu'on ne peut parler qu'avec les auteurs qui prennent la peine de répondre au commentaire, et que le site ne permet pas de supprimer une note : voici un coeur pour vous remercier d'être passé.***** De mon point de vue, il mériterait plus de soins, accentuer certains traits, estomper d’autres. La longueur est bonne, moins serait trop court pour installer les idées. Ce sont les mots et leur ordonnancement qu’il faudrait revoir (je sais... si vous aviez du temps !), et probablement présenter Espérance comme la déesse qu’elle est. Merci pour le partage !
Publié le 20 Avril 2025
3
Cher nouvel arrivé, je vous salue des trois coeurs qui invitent la communauté à découvrir un texte. Voilà, c'est du cul, du vrai, du très beau. Non, en fait, c'est bien plus : une plongée dans la dolce vita, dans la grande belezza. Merci infiniment.
Publié le 15 Avril 2025

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2025 : Construction et publication du site littéraire de mes rêves en compagnie de Mary Montcalm. Chaque mois, avec Mary, nous décidons d’un thème qui nous semble essentiel dans le parcours d’un auteur. Mois d’avril : la lecture et l’écrivain. Mois de mai............. WOW !!!!!!!!!!!! Nous mitonnons une sacrée déflagration !

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