Catarina Viti

Sacrée Landrelle ! Je ne sais pas à quoi vous "carburez", mais ce doit être de la bonne. Que ceux qui s'ennuient et trouvent la vie à scier en petits morceaux lisent votre nouvelle. Ils auront vite chaud, et envie de la savourer, cette existence. C'est un chouette message que vous délivrez. Généreux, drôle et bien pensé. Mais attention, chère amie, quand vos citez les grands classiques... Vous avez confondu Polnareff et Fugain. Impardonnable ! Que dis-je, terrrrrrible. Si je n'étais pas dans un jour faste, je vous aurais retiré un corazon ! Merci pour cet excellent et jubilatoire moment. Restez encore un peu avec nous ! PS : Landrelle... seriez-pas la fille de Landru, par hasard ?

Bonjour. Je lis lentement, de manière fractionnée, il m’aura ainsi fallu 4 (parties de) soirées pour arriver au bout de votre roman. Je ne dis pas cela pour raconter ma vie, mais pour que vous sachiez que j’ai éteint ma liseuse le soir 1 en pensant : vivement demain. Même état d’esprit les deux soirs suivants. J’ai aimé votre livre pour plusieurs raisons. ***** La première est que j’apprécie particulièrement le roman gothique. Je pense que vous avez réussi ce tour de force : tout y est sans que cela soit pesant ou caricatural, au contraire, vous semblez dans le gothique comme un poisson dans l’eau (oui, bof ! trêve de métaphores à deux cents).***** Votre "'Île de la Résurrection" est un roman gothique d'une rare maîtrise, où vous maniez avec talent tous les codes du genre. Les personnages, l'atmosphère, l'écriture et les thèmes de la vie, de la mort et de l'irréalité s'entrelacent avec une fluidité remarquable. La prose, à la fois belle, musicale et précise, semble taillée, et l'intrigue se déploie avec harmonie, reliant habilement les différents moments du récit.***** Au-delà de la simple forme, votre roman explore des idées profondes, offrant une véritable réflexion philosophique. Sans dévoiler la fin, vous réussissez même à convoquer des figures illustres du gothique, notamment Milton, pour clore cette histoire de manière magistrale. En somme, une œuvre accomplie que j'ai pris un immense plaisir à découvrir et à savourer.***** Je recommande la lecture de votre livre. PS : désolée, c'était plus spontanné la première fois ! ***** (Pour tout le monde, Jonathan avait déjà posté son texte -ainsi que d'autres, sous des pseudos différents. Je lui ai conseillé de rassembler ses textes sur un même compte (celui-ci) et nous avons perdu le commentaire que j'avais initialement posté.) *****Bonne lecture à tous et bienvenue à Jonathan dans la famille mBS.

Bonjour Christophe. Deux cœurs = BRAVO (1 = merci/3 = je recommande). Les passages de la partie « enfance » m’ont rappelé l’ambiance des histoires de Pagnol Les contrastes entre la ville et la campagne, entre la rigueur du quotidien et l’innocence des vacances. Mais chez vous, l’émotion est plus directe et dramatique. Je crois que vos textes gagneraient si vous insistiez sur la tendresse, le regard un peu décalé, amusé, un peu d’ironie aussi... tout cela contrebalancerait la mélancolie. On retrouve ce ton mélancolique et introspectif au moment de l’adolescence. Distance sociale ressentie à l’école. Tout cela est d’une grande authenticité, mais il manque un peu de légèreté ou d’humour subtil. Votre écriture se concentre davantage sur le sentiment d’invisibilité et d’exclusion, et c’est là un thème très fort. On retrouve un peu la même atmosphère dans la partie "adulte". Je trouve votre écriture sincère, touchante. Un peu plus de légèreté serait probablement un plus, de la perspective. Merci pour le partage.

Voilà une histoire que je n'ai pas lâchée. Elle a le bon format (celui qui permet une lecture immersive), et Mongo le Hutin est un authentique conteur. Si vous le permettez, cher ami, il y a quelques bricoles de français à mettre d'aplomb, et une relecture de fond à faire pour ce qui est de la première arrivée au pied de la Montagne (le timing seulement). J'ajoute que j'aime votre histoire, car je l'ai vécue mille fois (à ma manière Nassara) dans le rôle de l'enfant et du père. Alors, j'atteste : l'oeuf existe pour de bon.

Je recommande chaudement, chaleureusement et vigoureusement (signification de 3 coeurs qui n'est pas, malgré les apparences, une "notation scolaire") la lecture de votre texte. ***** C'est écrit (et non rédigé), il y a une "plume", un style, un rythme et, et... un point de vue drôle, que vous ne renfermez pas dans une "petite idéologie bienveillante" (vous laissez ça : la "petite idéologie", aux autres convives). J'adore vos effets de fourchette à la fin et la sublime chute toute en julienne. ***** Merci, vraiment, pour le moment de lecture revigorante et décapante.