Anne Loréal

J'ai adoré ce texte Vanessa. Un subtil mélange d'analyse sociologique et de poésie qui m'a tout d'abord attristée, par compassion pour ces gamines qui, semble-t-il, se perdent loin de la beauté du monde réel, puis choquée (lorsque vous annoncez leur âge), enfin enchantée lorsque vous nous entraînez sur le chemin de souvenirs charmants et bucoliques... Finalement, vous m'avez ramenée à la réalité en questionnant ce point de vue de l'adulte qui se répète probablement de génération en génération... allez savoir. Et puis tout ça est si joliment écrit, c'est un vrai plaisir de plonger dans vos textes. Bravo! Anne.

Voilà un nouveau chapitre tout aussi poignant que le premier, mais plus sombre et presque dramatique. On referme la dernière page avec une douleur à la poitrine, au contraire du premier volume qui nous avait enchanté dans une normandie de rêve, habitée par une tendresse silencieuse mais évidente. Encore un très joli volume de vos mémoires. merci de l'avoir partagé, Anne.

Chère Haziza, votre roman m'a emportée. Une histoire d'amour impossible aujourd'hui, mais qui, après tout, aurait été tout à fait convenable 300 ans plus tôt. Mais ce n'est pas là l'élément principal, je pense, de votre roman. Ce qui fait que l'on accroche, c'est la sensibilité à fleur de peau de vos personnages, à la fois écorchés vifs, à la fois prêts à s'émerveiller avec leurs premiers émois. Le tout dans un rythme dynamique qui fait que l'on avale les pages sans s'en rendre compte.... Bravo pour tout cela! Certaines petites fautes subsistent cependant ici et là, et une relecture pourrait les éliminer facilement. Certains mots aussi employés un peu trop souvent ("dense" par exemple). Pour les détecter, la fonction recherche dans word permet de voir où sont employés plusieurs fois le même mot. Encore un grand merci pour m'avoir offert un joli moment d'évasion dans votre univers. Anne.

@Antoine Guy Le titre est un jeu de mot bien trouvé, et on retrouve tout au long du texte de jolies expressions imagées qui percutent. On se croirait par moments dans un film des années 50 au language fleuri.... Bravo et merci pour ce partage. Anne

Un texte tout en finesse et sans fausse note. Je trouve qu'il est toujours difficile de transposer des emotions de façon juste, et il me semble que vous avez tout à fait réussi ce défi. Sans compter le choc du dernier chapitre que vous partagez ici... Bravo et merci pour ce partage. Anne