Les oiseaux chantent même en hiver

27 pages de Vanessa Michel
Les oiseaux chantent même en hiver Vanessa Michel
Synopsis

Petites filles d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Publié le 23 Novembre 2024

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"Les oiseaux chantent même en hiver" est le "Livre le +" du 27décembre. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à  Vanessa Michel, c’est pour cela qu'elle publie ses livres sur monBestSeller.

Publié le 27 Décembre 2024

Ce livre est noté par

12 commentaires , 13 notes
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3
J'ai adoré ce texte Vanessa. Un subtil mélange d'analyse sociologique et de poésie qui m'a tout d'abord attristée, par compassion pour ces gamines qui, semble-t-il, se perdent loin de la beauté du monde réel, puis choquée (lorsque vous annoncez leur âge), enfin enchantée lorsque vous nous entraînez sur le chemin de souvenirs charmants et bucoliques... Finalement, vous m'avez ramenée à la réalité en questionnant ce point de vue de l'adulte qui se répète probablement de génération en génération... allez savoir. Et puis tout ça est si joliment écrit, c'est un vrai plaisir de plonger dans vos textes. Bravo! Anne.
Publié le 13 Décembre 2025

Cher Alain,

Toutes mes excuses pour cette réponse tardive.

Tu es donc, toi aussi, de Marseille ? Eh bien, il faut croire que la cité phocéenne a engendré pas mal d'écrivains d'mBS…

Je te remercie pour cet immense bouquet de compliments, unis à de jolis cœurs et à quelques jeux de mots appréciés de mes services ;-)

Moi aussi, figure-toi : j'avais un mange-disque. Orange ! Mais pas de Cloclo dessus. J'ignore par quel(s) mystère(s) je me suis retrouvée avec les 33 tours de Nana Mouskouri (?) et de Mireille Mathieu (??) au milieu de ceux de Dorothée et de… Mylène Farmer (???) dont je chantais les tubes sans savoir, haute comme deux pommes, ce que je racontais !

Concernant la « valeur travail », je l'ignore. Je m'interroge plus au sujet de la « valeur réflexion », avec l'influence galopante de l'I.A. - dont je n'avais pas conscience quand j'ai écrit la nouvelle, il n'y a qu'un an et demi pourtant…

Belle soirée à toi et à très bientôt. Toutes mes amitiés également @Alain Lamoliatte

Publié le 11 Décembre 2025

@Vanessa Michel

Voyant apparaître sur la page Best of un titre de vous, je viens voir ce que c'est et, SURPRISE, votre texte a reçu un Cœur mBS / Livre + le 27/12/2024 !
Déception ! Que fait ici votre texte ?
Salut !

Publié le 11 Décembre 2025
3
Bonjour Vanessa. Es-tu le fruit d'un amour improbable entre Marcel Pagnol et Frida Kahlo ? Ta nouvelle est une toile géante qu'il faut bien regarder pour ne rien perdre de ses beautés. Car tout est beau dans ton texte. Bon, étant Marseillais de naissance, je n'ai jamais appelé une gamine de 8 ans une cagole, mais ta vision le justifie totalement. Je les ai connues ces gamines dans les années 60, au bas de ma tour HLM, et moi aussi j'étais le fada de la cité, à lire Pagnol, manger des mûres et courir dans les collines à en exploser mes espadrilles. On n'avait pas les réseaux, mais des mange-disques dans lesquels on martyrisait des 38 tours de Cloclo. À chaque génération son modernisme, son insouciance et son irrespect. La seule chose qui me fait vraiment peur, c'est la perte du savoir et de la valeur du travail. Souhaitons à tes cagoles de ne pas se retrouver à 70 ans (au moins), à l'heure de la retraite avec un minimum vieillesse. Voilà, j'ai cassé l'ambiance. Tu es une fée de la plume et des pinceaux. Merci à @MBS de te mettre à l'honneur et à toi de nous faire passer des moments de grâce (ou de grasse pour tes cagoles). Amitiés, Alain.
Publié le 10 Décembre 2025

Merci beaucoup Floriana, pour ton retour uni à de jolis cœurs pétants.
J'ai l'impression que les enfances du présent passent leur vie à interroger les enfances du passé… Mais la seule chose qu'on ne volera jamais aux minots (société de consommation ou pas !) c'est tout de même leur capacité d'émerveillement.
Elle semble cultivée ensuite par les artistes, notamment, mais égarée hélas ! en chemin par beaucoup.
Bonne nuit à toi et à très bientôt @ Floriana Vélasquez

Publié le 25 Novembre 2025
3
@Vanessa Michel Est-ce que c'était mieux avant ? Moi aussi je me questionne souvent en observant ces minots vulgaires et fières de l'être comme si l'époque était un concours de Cagoles et de Kéké. J'ai adoré le contraste entre le monde des cagoles de 8 ans (peuchère é font peine !) et les folles cavalcades de nos enfances en liberté. Sous l'aspect d'une gentille nouvelle qui sent bon le sud et la pinède, tu réussis à distiller une réflexion sociologique sur la modernité. enfin, ce qu'on nous vend comme moderne, mais qui n'est que mode de pensée frelaté, divertissement sans joie et consommation effrénée d'artifices en toc. L'e monde de l'enfance est devenu une cible marketing, un champ d'abrutissement expérimental pour fabriquer de futur petits moutons dociles. Vé ! ça fait peine pour les pitchounes !
Publié le 24 Novembre 2025

Chère @Parthemise33,
Un immense merci pour votre lecture, votre retour et les trois jolis petits cœurs qui les accompagnent si joliment. J'ai grandi dans le Var, et j'ai adoré côtoyer certaines cagoles qui, en dépit parfois de petites trivialités esthétiques ou de langage, sont généralement d'une gentillesse et d'une gaieté incroyables. J'ai donc de l'affection à la fois pour elle et pour l'expression qui, à l'origine, n'est effectivement pas « un compliment brodé au fil de soi » (j'aime beaucoup votre expression). (...)
Encore merci à vous et bonne nuit ou bonjour, c'est selon.

Publié le 31 Juillet 2025
3
@Vanessa Michel « Cagole » … Voilà un mot découvert après mes vingt ans, autant dire que le scoop était périmé… Je sais, je ne suis pas du genre à surfer sur la vague… J’ai croisé ce terme dans une série TV, et j’ai vite compris qu’il ne s’agissait pas vraiment d’un compliment brodé au fil de soie. Ma grand-mère et ma mère, pourtant marseillaises pur jus, ne l’ont jamais prononcé (ou alors quand je faisais la sieste, qui sait ?) Les cagoles que vous décrivez sont délicieusement croquées : hautes en couleur, assumées, et presque héroïques dans leur flamboyance. Certaines revendiquent cette identité avec une fierté telle qu’on pourrait croire qu’un brushing parfait peut remplacer une armure. Vous réussissez à rendre votre récit à la fois vivant, immersive et tout droit sorti d’un souvenir en Technicolor. Merci Bisous Merci pour cette belle découverte
Publié le 30 Juillet 2025

Bonsoir Damian,
Merci beaucoup pour les petits cœurs et votre retour. Ça m'a fait sourire parce que je sortais de la lecture de deux de vos nouvelles, superbes de délicatesse et de poésie, et là on tombe sur les mots choisis par une petite charretière... Une autre ambiance donc ! Mais dont je suis contente qu'elle ne vous ait pas laissé indifférent. @Damian Jade

Publié le 09 Avril 2025
3
Votre nouvelle propose une ambiance vivante, portée par des personnages bien campés et un ton juste. L’écriture est directe, parfois crue, mais toujours au service d’une émotion sincère. On perçoit une tendresse réelle derrière les apparences, ce qui donne au texte sa profondeur. C’est un récit qui paraît simple en surface, mais qui laisse une impression durable. Bref, j'ai aimé ! Damian.
Publié le 08 Avril 2025

@Vanessa Michel Ah ! Non, n'efface pas, c'est trop drôle... pour les six cœurs, j'ai un truc... chuuuut! en MP... Porte-toi bien.

Publié le 27 Février 2025
3
Excellent, magnifique, un vrai moment de sociologie et de poèsie, j'avais déjà lu, j'ai relu et relirai encore avec plaisir. Je voudrais te dire, chère Vanessa, que tu mets le doigt sur une réalité sociale prégnante. J'ai connu dans mon village des gamines pareilles. J'imagine que pour toi aussi, c'est du vu ou du vécu. Écriture claire, limpide, directe, un rien cruelle et si drôle ! Il y a aussi tellement d'émotions et de fragilité dans ces gamines... Un vrai moment de nostalgie sur l'enfance et l'adolescence. J'aime cette sociologie et cette poésie des rues et des quartiers...
Publié le 27 Février 2025

Cher Pierre @Pierre Sansberro que vous répondre quand le commentaire est aussi flatteur et merveilleusement délivré ? Je suis d'autant plus heureuse que votre "Manuscrit" me trotte assez souvent dans la tête ; c'est-à-dire qu'on peut lire des choses, beaucoup, parfois très belles, mais celles qui restent, dotées de cet indescriptible et insaisissable supplément d'âme qu'on emporte dans le cœur, c'est bien plus rare… Donc venant de vous, cela me fait tellement plaisir ! Je vous remercie donc pour ce retour précieux, ainsi que pour le très sympathique "petite" ! (...) Bien à vous.

Publié le 25 Février 2025
3
Bonjour Vanessa.. "Je va vous dire", j'avais adoré, et ça m' avait même tiré une larmichette..Je m'étais dit cette petite, elle sait manier le pinceau. Et me voilà arrivé au pays des cagoles... Bon on connait le sketch des inconnus, version masculine(même si ça date un peu), alors j'étais bien tenté par la version féminine! Parce qu'au début votre histoire ça ressemble un peu à un sketch, enfin je trouve....Sauf que c'était moins drôle que celui des inconnus....et pour vous dire vrai j'y voyais presque une espèce de mépris de classe... Mais au fond de moi, je sentais que c'était pas possible que vous éprouviez cette sorte de condescendance pour des gamines de cité...Pas vous..Vous qui m'aviez tant ému avec cette histoire d' ermite avec ses chats...Et la deuxième partie arrive... Je me doutais bien que ça changerait la donne! Et là, on la retrouve votre sensibilité ...guidée par cette belle écriture à la fois réaliste et impressionniste. Car vous écrivez avec la même chaleur que vous peignez.. Eclatante plume Van ghoguienne, qui sait si bien exprimer toutes les couleurs des sentiments. Parce que vous savez que chaque enfance est belle qu'elle qu'en soit l' époque.. chaque souvenir sera magnifié avec le temps. Let the sunshine..Bien cordialement. Pierre
Publié le 24 Février 2025

Un grand merci pour les petits cœurs tout rouge et les compliments dont je suis très touchée Laurent @- Laurent Moussard - Bien à vous !

Publié le 22 Février 2025
3
@Vanessa Michel Bonjour Vanessa, Très belle écriture raffinée, profonde et dense. Et je pèse mes mots. J'aurais grand plaisir à découvrir vos autres nouvelles ! Bien à vous !
Publié le 22 Février 2025

Merci beaucoup pour votre retour et vos cœurs @Thierry Ki !
" Technostalgie"... et pourquoi pas ? Les petites cagoles d'aujourd'hui nous le diront peut-être d'ici quelques années ! ; ) Bien cordialement

Publié le 17 Janvier 2025
3
Quel mot magnifique que la nostalgie, quelle douce sensation parfois, qu'on ressent pleinement dans cette histoire... Oui, certainement, chaque génération pense avoir eu une enfance plus heureuse et plus vivante que la suivante (hormis, évidemment, celles qui ont connu des guerres...), mais est-ce que la technologie (smartphones et autres objets connectés...) saura offrir à ces cagoles de doux souvenirs ? C'est à en douter... A moins d'inventer un nouveau mot : la technostalgie ? Merci en tout cas pour ce texte qui fait autant ressentir que réfléchir, et aussi sourire.
Publié le 17 Janvier 2025

Merci infiniment Anne @A.P. Gounon
Votre commentaire me touche d'autant plus que j'admire vivement la poésie et la beauté de votre écriture !
P.S.: En fait, il ne s'agit pas "véritablement" de mes souvenirs d'enfance... mais c'est peut-être bon signe que tout le monde s'y soit (apparemment) laissé prendre ☺️
Belle journée à vous

Publié le 07 Janvier 2025
3
@Vanessa Michel. Bonjour Vanessa. Votre nouvelle sur l'enfance est intéressante et profonde. Vous comparez vos souvenirs d'une enfance gaie, insouciante, légère, avec l'enfance de ces pauvres cagoles dont le vide et l'ennui vous serrent le coeur. Mais vous espérez que les "attentions de la mémoire" ( c'est joliment dit), les rendront aussi chatoyants. Et c'est peut-être vrai ! Qui sait ? Votre style est très beau. J'ai même relu à haute voix certaines phrases particulièrement jolies. Bravo pour cette belle nouvelle. Anne
Publié le 07 Janvier 2025
3
Vanessa, j'ai envie d'embrasser votre texte, votre écriture, c'est tellement beau, tellement vrai ! Quelle richesse d'écriture, quelle sensibilité ! Une décoction de saveurs, de parfums de garrigue, de sentiments, de gestes, d'insanités crapuleuses proférées par les "cagoles", magnifiées par des mots savoureux échappés du parler provençal "dégun, bouléguer"... Honneur à Mistral... En sus de cette écriture exceptionnelle, digne des grands auteurs provençaux, Giono, Bosco, Pagnol... votre récit est éminemment sociologique... Une triste réalité qui gagne, qui mange notre jeunesse, comme la lèpre, la peste bubonique qui, partie de Marseille, gagnait les campagnes bucoliques... Vous tentez, par bonté, humanité, d'atténuer votre propos, de relativiser, d'exonérer cette jeunesse perdue qui se morfond, crache son ennui et sa méchanceté aux pieds des maisons... Que nenni ! C'est le foutoir, le désespoir, le dépotoir ! Leur seule excuse est que nous en sommes responsables... Je ne vais pas me lancer dans la controverse, plomber votre magnifique nouvelle, mais c'est tellement difficile à accepter qu'on préfère croire, espérer... PS : Je parcourais les textes courts, saisi d'un ennui mortel, en ce dimanche tristounet, proche de la Méditerranée, quand je suis tombé sur le vôtre que je n'ai pas lâché et que je vais relire pour en saisir toutes les délicatesses...
Publié le 01 Décembre 2024

@Fernando Lagraña, ces "courailleries du temps jadis", c'est vraiment cela... Ce temps où nous avions tout en ayant rien ! Merci beaucoup !!! Bonne journée

Publié le 25 Novembre 2024
3
Touchantes saveurs d'une nostalgie qui sent la pinède et les courailleries du temps jadis ! Allez, j'arrête de lire et je vais me bouléguer un peu ! Merci
Publié le 25 Novembre 2024

@Fanny Dumond3 Je vous remercie infiniment ! Cordialement

Publié le 23 Novembre 2024
3
@Vanessa Michel Tout simplement, je recommande cette lecture. Cordialement. Fanny
Publié le 23 Novembre 2024