
Savez-vous différencier l'autopublication, l'autoédition, et savez-vous comment fonctionne une maison d'édition ?
Connaissez-vous les rôles décisifs d'un distributeur et d'un diffuseur en édition ?
Les attrape-nigauds de la pseudo édition, ça vous parle ?
Avez-vous déjà pris le temps de faire le bilan de vos compétences, capacités et motivations éditoriales ?
Etes-vous un auteur taillé pour l'édition, l'autoédition, ou ni l'un ni l'autre ?
Quelle est, en conséquence, la meilleure destinée à réserver à vos textes, celle dans laquelle vous vous sentirez un auteur épanoui ?
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Bonjour @Mario Fontaine. J'espère que ce Livre Blanc vous apportera les réponses que vous attendez. Pensez à me mettre un petit mot quand vous l'aurez lu. Je recueille toutes les remarques de façon à faire une édition augmentée.
Bonjour, Je n'ai pas encore pu lire votre livre (le l'ai juste parcouru et il me semble contenir beaucoup de choses intéressantes). Je suis arrivé aujourd'hui sur monBestseller et je suis tombé par hasard sur les conseils que vous donniez à un auteur qui venait juste de publier lui aussi (format A5, interligne 1,20 cm, taille des polices 13, qui conviennent mieux pour d'autres supports que l'ordinateur).
J'ai aussitôt repris mon texte et je vous en remercie. Vos indications devraient être mises en première page pour les nouveaux auteurs. Merci encore.
Bonjour, @Floriana Vélasquez, et merci pour votre témoignage. Je crois que ce qui compte par-dessus tout, c’est d’être informé et de bien connaître ses objectifs (parce qu’on a trop tendance à se laisser emporter par le « stream », le grand courant qui nous chuchote des tas de choses dans les oreilles, qui nous bâtit des châteaux en Espagne, nous fait miroiter je ne sais quelle forme de » » réussite » » 100 % plastique recyclé).
Une fois que nous savons ce que nous voulons (VRAIMENT — nous, pas les autres), quand nous comprenons ce que l’écriture représente pour nous, quand nous entrevoyons le merveilleux voyage qui nous attend,
et quand nous sommes clairement informés,
ALORS LES BONNES SOLUTIONS ARRIVENT, et, avec elles, la joie, la légèreté, le plaisir de continuer l’exploration.
Je vous souhaite le meilleur !
Merci @Thierry Laugier. Ces retours sont très importants. Et je ne vous en veux pas du tout de ne pas aimer les "fioritures"! Il ne manquerait plus que ça !
Bonjour Catarina,
C'est l'ensemble de votre opus que je trouve utile, en ce qu'il décrit avec réalisme les embûches qui guettent tout candidat à l'édition, et non une partie de cet opus en particulier. Je l'ai aussi dit "salutaire" parce qu'il invite chaque auteur à replacer ses ambitions à leur juste place, et ne pas les laisser se substituer à ce qui conditionne toute création littéraire, à savoir le goût d'écrire. Permettez-moi d'illustrer ce propos par un extrait de première main des Cahiers d'Yvon « Il faut écrire en se moquant éperdument du succès, uniquement pour son propre plaisir. Rien n’est perdu, si les pages oubliées et délaissées tombent sous le regard d’un être curieux qui sache éprouver quelque sympathie »
Pour redevenir pratique, je regrette que vous n'ayez pas cité un prestataire d'auto-publication comme Coolibri.fr, qui certes vend un service, mais rend pleinement le service qu'il rend.
Et pour finir, je dois vous avouer que je n'aime pas trop votre page de couverture, ni les pages s'intercalant entre les différentes sections de votre texte (que j'ai lu d'une traite).
Vous ne m'en voulez pas?
Bien cordialement,
@Thierry Laugier. Merci. Qu'est-ce qui vous a été le plus utile ? (Ce livre blanc est destiné à évoluer dans l'intérêt des auteurs.)
Lucide et salutaire!
Merci @Samuel Mikael HALITE : l'édition quelque que soit la forme qu'elle prend est rarement un parcours de santé (et je peux vous dire que même être signé chez Gallimard n'est pas le succès assuré de nos jours), il vaut mieux le savoir pour choisir la voie qui sera pour chacun la meilleure. Auteur hybride n'est pas mal du tout : une partie chez un éditeur, une autre en autoédition et la troisième en autopublication. Je pense que c'est la solution d'avenir pour les auteurs aventureux et talentueux.
J'ajoute un lien à la fin de ce pdf, car nous avons, avec Mary, mis en place une sorte de questionnaire, une "Boussole" pour les auteurs qui veulent travailler et affiner leur profil.
Bien que l'auteure semble préférer l'autoédition, elle ne la présente jamais comme une solution miracle et reconnaît les défis inhérents à cette voie. Dans cet ouvrage, Catarina Viti partage ouvertement son expérience et son point de vue, ce qui laisse entrevoir une certaine préférence pour l'autoédition. Cette inclination se manifeste à travers certains exemples ou analyses où elle met en avant les avantages de cette méthode, tels que la liberté créative, le contrôle éditorial et la possibilité de toucher directement son public. Cependant, elle ne minimise jamais les difficultés associées, offrant ainsi une perspective équilibrée et éclairée.
Merci de partager cette expérience.
@ Catarina Viti Merci pour votre réponse. Je vais chercher la Boussole...
Je pense comme vous qu'il faut écrire pour l'amour de l'écriture, pas pour gagner de l'argent... Ce qui est vain et risque de fausser son rapport à l'écriture et donc sa qualité...
Je suis persuadé que l'IA, excellent outil d'analyse, ne remplacera jamais la création... Tous les textes générés par IA que j'ai lus, sont plats et sans saveur...
Je pense que les auteurs devraient mettre leurs livres en numérique gratuit, ce qui est le cas sur MBS, et vendre la version papier, il y a des amateurs... Le streaming n'a pas tué la musique...
Bonne journée.
@bichetdenis. Je vous suggère de poursuivre votre réflexion en allant sur mon site (il n’y a rien à vendre, je précise) pour faire le test de la Boussole Littéraire. Un outil que nous avons fabriqué avec Mary pour que les auteurs puissent faire le point et se sentir bien dans leur peau.
La situation n’est pas pessimiste, il y a seulement trop de livres. Comme je le souligne dans le Book Business, le numérique (et maintenant l’IA) on donné à chacun la perspective d’être un auteur, et quelques exemples, habilement conçus par le système, donnent à croire à chacun que la « réussite » est possible.
Je pense que d’ici quelques années, tout ce machin sera retombé. Cette sorte d’hystérie. Les « gens » auront compris quelle est leur vraie place dans le Book Business, ils en tireront des conclusions et reverront leur désir et leurs buts.
Je crois profondément à l’écriture comme à un art. Pour moi, un art n’a rien à voir avec le Business, dont la première pierre est le fameux commentaire, la seconde : les réseaux.
Si vous écrivez pour votre cœur et avec lui, tout ce micmac vous indiffère.
Quant à créer une maison d’édition................................... il y en a déjà tellement. (Au Tchad, les difficultés sont d’un tout autre ordre.)
Brèfle : écrivez pour remplir votre âme et vous serez payé en retour d’un supplément d’énergie, d’une flamme dans l’œil que n’ont que ceux qui vivent leur passion.
Bonne continuation et merci pour votre témoignage de lecture.
Bonjour,
Votre livre est un vade-mecum intéressant pour l'auteur débutant qui correspond globalement à ce que je pensais des M.E., mais l'écrire et le dire, c'est nettement mieux… Il a le mérite d'être clair, exhaustif et lucide, donc pessimiste, même s'il se veut optimiste.
Le constat que vous faites sur les sociétés commerciales d'édition est évidemment une triste réalité. Il faut être célèbre avant de l'être... ou avoir un bol d'enfer et un peu de talent, qui sont deux denrées rares.
L'impasse de l'autoédition est tout aussi déprimante.
MBS est une solution, si on ne veut rien dépenser, rien gagner et être lu par un "cliqueur" sur mille (on en a parlé)…
Il en est une que vous n'avez pas évoquée : la création de sa propre mini-maison d'édition... d'autant que j'ai cru comprendre que c'était le projet que vous meniez au Tchad...
Merci pour votre travail, sa diffusion gratuite et sa mise à disposition de tous...
@Odile Maudrijat.
Chère Odile,
Indubitablement, vous savez prononcer worcestershire sauce en plusieurs langues (dont le chinois et les langues à clics, ce qui n'est vraiment pas facile). Votre geste est un phénomène tellement rare, que j'en suis touchée, c'est vous dire !
On m'a rapporté le plus grand bien de votre roman, et votre sincérité est si grande (on prétend, entre Toulon et Marseille, qu'on la voit depuis la lune), que je vais m'arranger avec sa seigneurie le temps pour trouver celui de vous lire.
En 5 lettres : MERCI.
@BENNADJI2022. Eh oui, c'est le problème : les auteurs africains sont "édités" au "autoédités" sur des plateformes françaises, mais le hic, c'est qu'il n'y a pas de livraison assurées.
C'est ainsi que nombre d'auteurs (moi je suis du côté subsaharien, mais c'est idem en Tunisie, donc certainement en Algérie) sont dans des boîtes comme Edilivre, Librinova (beaucoup moins), etc. voire sur KDP Amazon, mais impossible de recevoir leurs livres. La solution : avoir des amis en France. Ils se procurent vos livres et ensuite, ils vous les envoient. C'est très cher si l'on passe par le canal Poste Colissimo, mais il existe une formule plus compliquée, mais peu onéreuse (on passe toujours par la Poste, mais dans le cadre d'une disposition spéciale expédition de livres, on remplit une liasse douanière, on doit mettre les livres (au-dessus de 5 kgs) en sac de jute spécial transport, mais l'expédition ne revient qu'à quelques euros.
@ Catarina Viti
Merci pour les conseils que vous donnez bien que je n'ai aucun moyen pour m'autoéditer (j'ai déjà publié 4 livres que je ne peux même pas acheter car je suis en Algérie et je ne possède pas de carte de crédit en devises). Disons que je suis l'exception qui peut confirmer la règle.
@Catarina Viti. J'aimerais beaucoup. Merci d'avance. Anne
@A.P. Gounon. Nous en sommes arrivées au même point.
Je respecte également tous les profils d'auteurs, tous les projets, mais sachant ce que je sais sur l'autoédition, sur ce qu'elle implique d'investissement personnel, je me suis retirée de la course (lol!). L'édition ne me convient pas non plus : il faut courir à droite à gauche, faire salons et signatures, help ! j'ai déjà du mal à me propulser hors de chez moi pour le ravito hebdomadaire...
Non, personnellement, je préfère utiliser mon temps ici-bas pour d'autres causes.
J'aimerais bien vous envoyer le PDF (ou MOBI ou EPUB) complet. Puis-je ?
@Catarina Viti En effet, j'ai bien reçu le pdf et j'ai hâte de le lire. Merci beaucoup pour vos informations sur les statistiques. Bon week-end !
@Dominique DUCHENNE. Le PDF doit être arrivé.
Pour comprendre tous ces chiffres, il vous suffit de cliquer su le i(italique) à côté de + d'info, juste au-dessus des chiffres (en face de "Les statistiques du livre", au-dessus du + de bibliothèque)
@Catarina Viti Bonjour, merci beaucoup pour votre réponse qui confirme ma décision de refuser le contrat d'édition de MAÏA. J'ai demandé par courriel de recevoir en pdf, votre texte complet de Book business. Si vous avez le temps, pouvez-vous m'expliquer la signification de "progression" dans les statistiques liées aux ouvrages des auteurs sur MBS ? Je vous en remercie par avance.
Bien cordialement.
@Dominique DUCHENNE. C’est volontairement que je n’ai pas donné les noms de ME « fantaisistes ». Maïa, selon les critères que j’ai retenus, est à classer dans cette catégorie. De même, bien entendu, que toutes les autres que vous avez citées.
Ensuite, c’est à vous seule de voir et de juger. Si votre but est d’être éditée et prise en charge par votre éditeur (il vous guide, il vous coache dans la reprise de votre manuscrit, avant tout cela, il vous verse un à-valoir [ce point est souvent facultatif pour un premier roman d’auteur non connu], vous apporte la démonstration de son efficacité en matière de promotion d’auteur, et l’assurance que votre livre sera effectivement distribué et diffusé), procurez-vous le texte complet de Book Business afin de trouver l’éditeur qui vous offre ce service.
Vous pouvez aller sur mon site (le PDF de Book Business est à la disposition de tous les abonnés à mon site), je viens de sortir deux nouveaux articles qui expliquent des points précis, notamment sur la distribution, la diffusion et la promotion.
@catarina Viti bonjour, jai lu avec intérêt ces huit pages extraites de "A chaque auteur, sa voie". Je viens de publier mon 1er roman "Une mère et son fils" dans "MBS" depuis le 3 février 2024. J'ai soumis mon ouvrage à quelques Maisons d'Editions qui m'ont envoyé des contrats à signer. Je les ai lus avec attention et j'ai décliné leurs propositions qui consistaient à les payer, soit en argent ou en achetant 30 ou 40 exemplaires de mon livre. Il s'agit des Maisons d'Editions le Lys bleu, les trois colonnes, Baudelaire. Spinelle acceptait d'éditer mon livre mais je devais assurer seule, sa promotion et distribution. J'ai bien sûr refusé aussi leur contrat. Les Editions MAÏA m'ont envoyé un contrat d'édition à compte d'éditeur avec l'option "Campagne de pré-promotion". L'on ne me demande pas de payer quoi que ce soit mais pour l'instant, je n'ai pas signé ce contrat car je ne sais pas si cet éditeur est fiable. Il exige l'exclusivité mais ne verse aucun a-valoir à la signature du contrat, comme vous l'indiquez dans votre livre. Eventuellement, pouvez-vous me renseigner sur le sérieux ou pas de MAÏA SVP ? Je vous en remercie par avance.
Bonjour @Mila Desjardins 1
Nous devrions avoir bientôt (Sainte Informatique, ayez pitié de nous) un nouveau système de notation qui devrait favoriser le commentaire. Je pense que le principe de la notation n'encourage personne. Noter est 1) très subjectif, 2) gênant, et 3) un peu bébête.
Mais si vous avez des idées pour encourager à laisser des commentaires...
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Suite à l'article, j'ai eu pas mal de demandes pour des explications complémentaires.
Voici un autre lien :
https://catarinaviti.com/2024/02/04/au-secours-je-vais-etre-edite-e/
Merci beaucoup @Catarina Viti pour votre texte qui alerte bien les auteurs. Je connais l'auto-édition. Ce n'est pas facile de vendre soi-même son oeuvre. Il faut y consacrer beaucoup de temps et d'énergie pour peu de retour. Ainsi je me suis surtout rendu compte que l'écriture devait rester avant tout un plaisir pour moi donc je publie mes oeuvres uniquement sur MBS maintenant. Je déplore seulement que 90% des lecteurs, en général, ne laissent aucun commentaire alors qu'ils sont indispensables pour un auteur selon moi..
Bonne continuation à vous sur le chemin de l'écriture.
Merci @Clarisse Balsamo. Un miroir aux alouettes qui fait mal à ceux qui le prennent sur le museau. J'avais pensé intituler ce dossier "l'envers du décor", mais cela pourrait laisser penser que le monde du livre est un piège, ou un théâtre, ce qu'il n'est pas, dans mon esprit. Mais il devient un traquenard quand de trop belles promesses sont faites (je ne parle pas bien entendu de monBestSeller, notre cocon) à des gens trop prêts à rêver.
Merci @LAULAULA, pour ton appui ! Oui, c'est une sorte de Livre Blanc sur le secteur que tous les auteurs devraient lire pour faire le meilleur choix pour eux-mêmes.
Certains auteurs sont "faits" pour être édités (quoiqu'il en coûte -lol-), d'autres sont des aventuriers (comme toi).
Pour être un auteur épanoui, il faut bien se connaître, ne pas se mentir, et être au fait de la réalité de la situation. Après cela, poser les choix et les décisions qui s'imposent, et vivre le bonheur d'écrire tout entier... peut-être en restant bien douillettement sur mBS.