Bien avant le rêve de CERNUNNOS

367 pages de sylvestre EVRARD
Bien avant le rêve de CERNUNNOS sylvestre EVRARD
Synopsis

Nouvelle version illustrée par l'auteur

— Tu es en retard apprenti ! Tu sais pertinemment que je déteste cela.
— Je me répands en excuses à vos pieds, Maître. Je suis vraiment désolé, mais j’ai eu fort à faire dans ma carrée quand sonna la cloche dès les premières minutes après le petit déjeuner au « boomkeur-cantine ». L’occupante de la paillasse N°7 a encore fait des siennes…
— Ah ? Quelqu’un est-il malade ou décédé ?
— Non pas vraiment, mais c’est cette femme qui se dit être ma mère qui a eu une crise de tremblements avec toujours cette bave mousseuse débordant de sa bouche. On a bien cru qu’elle y passait cette fois !
— Quel âge a-t-elle ?
— Sa plaquette d’identification est gravée au chiffre de 2743-C. Donc ça lui fait…

Publié le 27 Juin 2023

Les statistiques du livre

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3 commentaires , 1 notes
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3
Une histoire où s’entrecroisent des vies. Mais à quelles époques exactement?
Publié le 30 Août 2023

et j'oublie le principal chère @Emilie Malone : vous avez dû noter que le thème-problème du roman est "la quête de l'écriture et de la lecture" pour laisser une Histoire derrière soi au profit de l'espèce en pleine évolution: donc, les polices au nombre de 3 sont aussi là en cohérence pertinente, selon moi, avec ce besoin identitaire en fonction de la nature des passages: dialogue/mythe/narration documentaire.
re-merci
sylvestre

Publié le 24 Juillet 2023

bonjour et merci beaucoup @Emilie Malone pour l'intérêt manifesté pour mon roman de SF. Je suis un peu d'accord avec vous sur les changements de polices et j'avoue avoir hésité mais:

- je voulais employer 3 tons et styles différents en "montage alterné" cinématographique et brouiller les pistes temporelles; alors j'avais besoin d'un signe graphique pour les signaler au lecteur sans avoir recours à des phrases conventionnelles usées et inutiles. l'effet voulu est de provoquer des "cut" comme on dit en filmologie dans le flux narratif.

- d'autre part, je trouve surprenant que les éditeurs et écrivains, à l'heure du numérique, se privent des choix et des richesses de polices qui ont aussi leur propre "caractère" et déclinent par là des sous-entendus, des non-dits que je trouve intéressants > encore faut-il ne pas en abuser et faire dans le "décoratif"... c'est le danger !

- et pour finir, j'ai fait mes premières armes pro dans l'imprimerie pour payer mes études ; j'en ai gardé un amour de la fonte et en tant que plasticien et enseignant d'arts, je ne peux que m'intéresser à ce que dit "la lettre dans sa forme" comme l'ont démontré les artistes du Bauhaus avec leurs collages constructivistes ou certaines revues "culottées" : si je pouvais, j'irais bien plus loin dans l’utilisation de la typo et de la mise en page ! Malheureusement, ça ne fait pas partie des conventions et "codes littéraires" bienvenus..

Qu'avez vous pensé du caractère féminin principal?
bien à vous; sylvestre

Publié le 24 Juillet 2023

Très surprenant, différent, étrange. Et néanmoins, une fois habituée à ces changements de chapitres, de polices, on rentre dans cette bizarre histoire, exotique ! N’empêche, un peu moins de changements systématiques (de chapitres, de polices…) faciliterait quand même la lecture.

Publié le 23 Juillet 2023