Le livre du poème unique écrit en prose par Fredlar, defend et parle des derives du monde alimentaire. La grossophobie est un sujet important. La perfection imaginée du corps humain. C'est de cela qu'il s'agit dans ce poème.
La violence des jugements. La responsabilité de certains.
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Merci à tous d'avoir pris le temps de lire et de faire en sorte que notre communauté de jeunes écrivains grandisse dans l'effectivité d'un progrès certain.
Merci beaucoup pour ces moments de joie.
Vos vers sont souvent très beaux et à la fois très violents . On peut dire que le titre est bien choisi et qu'il porte bien son nom! On peut aussi dire que vos vers sont très francs et très forts et c'est ce qui m'a d'une certaine manière bien plu car vous n'y allez pas avec le dos de la cuillère.
Du coup cette violence des mots nous pousse à la réflexion, ce qui est aussi une bonne chose. Exemples : "Ne veux tu pas voir combien de pets, ce qui me sert de tuyau d’échappement, libère par heures? ; "Ne veux tu pas me passer à tabac croyant que chaque potion de ma viande est un tissu de moins que j’extrais à mon âme". « Je suis l’humiliation qui se dégage de la lumière du monde ».
Tout cela m'a fait penser à la citation suivante que je trouve très juste et très intéressante: ' Lutter contre la grossophobie n'est pas promouvoir l'obéisité", phrase de Daria Marx qui est un/e écrivain/aine.